En 1999, Beth Moon, photographe renommée, a décider de voyager à travers le monde et photographier les plus vieux arbres sur son chemin. C’est une merveille.




En 1999, Beth Moon, photographe renommée, a décider de voyager à travers le monde et photographier les plus vieux arbres sur son chemin. C’est une merveille.
En regardant son émission, les nouvelles, Netflix…
En alternant de jambe afin d’avoir deux belles cuisses et non juste une…
C’est un changement si minime qui aura un impact positif si grand.
Ça semble compliqué, mais je pense que c’est plus facile qu’on le pense.
En plus, c’est bon pour nous, l’environnement et notre portefeuille.
Ta Daaaaaaa! Voici la laveuse Drumi
La laveuse à pédale, à pied, sans moteur, appelez la comme vous voulez… elle est splendide!
Bon… peut-être pas pour faire les grosses brassées, mais quand même, c’est une superbe invention.
Les machines à laver régulières peuvent gaspiller environ 85 litres d’eau par lavage, sans compter l’électricité, et les laveuses plus écologiques telles que celles d’EnergyStar, environ 49 litres.
La laveuse Drumi, fabriquée au Canada, est composée de 40% de matériaux recyclées et utilise aussi peu que 10 litres d’eau.
C’est génial pour allez en camping. C’est aussi une solution pour les gens qui viennent d’endroits souffrant de pénurie d’eau.
C’est certain que si vous allez laver la même quantité de linge à toute les fois, vous économiserez seulement l’électricité, car si vous devez faire 4 à 5 lavages à pied, pour remplacer un lavage à la machine, vous vous trouvez à utiliser environ la même quantité d’eau… pas si écolo non?
Tout est dans le changement dans ses habitudes. Avez-vous vraiment besoin de laver autant?
Site officiel: yirego.com
La planète m’appartient.
Non.
Mais j’en suis responsable.
Je l’aime ma planète. C’est elle qui m’héberge.
J’aime ses animaux, ses arbres, ses fleurs, ses océans.
J’aime toutes ses espèces qui ne font que l’embellir, la nourrir, sans nuire à la continuité de son voyage dans l’espace.
C’est moi, qui dois faire des choix intelligents.
C’est moi, qui dois m’assurer de ne pas être égoïste.
C’est moi, qui fera une différence.
C’est moi, qui peut vraiment occasionner un véritable problème à mon entourage.
C’est moi. Seulement moi.
Chaque choix… chaque décision prise est susceptible de provoquer un désastre naturel.
Chaque geste… chaque mouvement est suivi d’une énergie puissante. Même si celle-ci est invisible à l’oeil nu d’un simple humain.
Au nom de la nature, des arbres, des fleurs, des océans…
Au nom des animaux: grands, petits, miniatures, quasi invisibles, microorganismes…
Au nom de la Terre,
Arrêtez d’être égoïstes.
Arrêtez de déléguer vos responsabilités aux autres.
Ce n’est pas aux autres de faire votre part. Le petit geste quotidien n’est plus assez. Vos dictées sont devenues hypocrites.
Continuer la lecture de C’est MA planète. Non, pas vraiment.
Une formation rocheuse préhistorique à couper le souffle. C’est la fameuse Wave Rock a Hyden, Australie laisée par des millions d’années d’érosion.
Shilin (Le bois de pierre) est une formation karstique située dans le Xian autonome yi de Shilin de la province du Yunnan, à environ 85 km de la capitale provinciale Kunming, dans le sud-ouest la Chine. Le parc couvre une surface de 350 km² composé de grands rochers sortant du sol à la manière de stalagmites, ce qui a donné à la zone le nom de forêt de pierre. On y trouve quelques coquillages fossilisés. (Wikipedia)
La structure géologique de Richat (l’œil du Sahara), en Mauritanie est le résultat d’un phénomène volcanique, vieux de 100 millions d’années (Crétacé), totalement effondré à la suite d’une longue érosion différentielle. Elle est à 30 kilomètres au sud de la source d’un ancien cours d’eau appelé oued Saguiet el Hanura. (Wikipedia)
La formation géologique Chocolate Hills est située sur l’île de Bohol aux Philippines. 1 268 collines en forme de cône de tailles similaires sont réparties sur plus de 50 kilomètres carrés. Leur formation date d’il y a environ deux millions d’années et elles sont composées de sable et de calcaire due à l’accumulation de couches successives de corail et de coquillage au fond de la mer. (Wikipedia)
Quoi? Les poissons ont des sentiments?
Là, j’imagine les pêcheurs et les gros mangeurs de poissons, se plier en deux riant aux larmes, en pensant à toutes les raisons du monde pour contrarier ce propos.
Personnellement, j’aime le poisson et j’aime les poissons (oui, il y a une différence…), mais j’ai toujours cru que toutes espèces vivantes avait aussi des sentiments, que ce soit des primates, des mammifères, des plantes, arbres, fleurs, microorganismes, etc., donc l’idée de terminer leur vie juste pour satisfaire un besoin superficiel, semble inhumain. Toutefois, j’admets que le fait qu’ils aient trouvé des preuves me surprend un peu, mais d’une bonne manière, bien sûr.
Donc ces preuves, sont-elles fiables? Qui sait… en tout cas, toutes ces années pendant lesquelles j’étais végétarienne (plus maintenant, mais au moins j’ai fait ma part), et que je critiquais les pêcheurs qui pêchaient « pour le fun », auront enfin values la peine.
Ce qu’on sait, c’est que des chercheurs ont identifié chez des daurades, des signes biologiques prouvant qu’elles éprouvent des sentiments. Ils ont effectué plusieurs expérimentations sur une grande quantité de poissons, afin d’aboutir à leur conclusion. Certains des chercheurs provenant de plusieurs institutions en Europe, incluant l’Institut d’Aquaculture de l’École des Sciences naturelles de l’Université de Stirling, l’Institut de Biotechnologie et Biomédecine de l’Université autonome de Barcelone, ainsi que l’école des Sciences vétérinaires de L’Université de Bristol, ont publié une étude dans la revue Proceedings of the Royal Society B, qui confirme que les poissons zèbres réagissent au stress par une hausse de leur température corporelle, un phénomène qui s’appelle «fièvre émotionnelle» qui montrerait qu’ils seraient donc capables de ressentir des émotions. (Source)
Mon but n’est pas de promouvoir le végétarianisme, mais plutôt de sensibiliser ceux qui pêchent par pur plaisir, pensant que ces pauvres espèces n’ont aucuns sentiments, à l’idée que oui, ils ressentent quelque chose. Peut-être qu’ils le feront moins, s’ils savent que ces pauvres poissons ne sont pas que des morceaux de chair en mouvement. Ce n’est pas tant d’inciter le monde à ne plus manger de poisson, mais au moins de cesser de les tuer pour rien.
D’après un article rédigé par l’auteur Roman Ikonicoff pour le magazine Science & Vie, les daurades ressentent. Ils ont effectué une analyse sur 96 daurades pendant 15 jours. Ils ont soumis les daurades à des entrainements qui duraient 12 jours, selon un système de récompenses et punitions, qui consistaient à habituer certains poissons à associer un signal lumineux lors de la nourriture, et d’autres, à l’enfermement dans un filet, suivi d’une exposition durant 5 secondes. Ensuite, les chercheurs ont procédé à 3 jours de tests, là où ils soumettaient les poissons aux stimulus lumineux qui représentaient la nourriture pour une partie et le calvaire pour l’autre. L’idée était de comparer leurs réactions physiologiques à celles des animaux chez qui l’on a déjà identifié la présence de sentiments.
Comme les poissons ne parlent pas (parfois je me demande pourquoi je précise certains détails), les chercheurs ont utilisé un ensemble de signaux biologiques, soit l’interaction avec leurs congénères et le taux de cortisol dans le sang, qui reflètent l’état émotionnel chez certains animaux, dont les mammifères et les primates. Ils ont bien sûr comparé les données avec celles provenant d’animaux qui ont déjà été acceptés par l’humain sceptique, comme ayant des sentiments.
Les chercheurs se seraient appuyés sur un modèle animal du « sentiment », validé par des expérimentations antérieures, qui associe les sentiments positifs à l’activation de certaines régions cérébrales spécifiques. Ils en ont conclu que le mécanisme cérébral et physiologique de ces poissons ressemble très fortement à celui des espèces comme les primates, les chiens, les hommes, etc.
Alors voilà!
Les chercheurs continuent de faire leurs recherches sur les émotions des autres espèces. Serait-ce assez pour diminuer un peu la pêche inutile. Par inutile, je veux dire « pour le fun ». Quand enlever la vie d’une espèce vivante qui a des émotions est le sujet de « ton amusement », il y a un gros problème. Surtout quand il y a des preuves pour appuyer l’idée.
Sources :
http://rspb.royalsocietypublishing.org/content/282/1819/20152266
https://www.science-et-vie.com/cerveau-et-intelligence/c-est-prouve-les-poissons-ont-des-sentiments-9840
En navigant le web à la recherche de je ne sais plus quoi, je suis tombé sur un article intéressant sur la cultivation des légumes chez soi, donc même l’hiver!
Je trouve qu’il est important d’essayer peu à peu d’aider notre Terre à se guérir de tout nos dégâts.
De plus, il y a tellement de magnifiques styles de décoration pou embellir la maison.
Bien sur, ce n’est pas tous les légumes, herbes ou fruits, qui peuvent être cultivés l’hiver, même à l’intérieur et ce, à cause du manque de lumière solaire toutefois, il y a des possibilités.
J’ai vu à plusieurs reprises sur Facebook, des vidéos qui prétendent que la repousse se fait facilement et cela a mis l’étincelle à ma curiosité.
Il y a surement plusieurs autres sites qui donnent des conseils sur comment cultiver soi-même mais j’ai bien aimer l’explication dans l’article dont vous aurez un petit aperçu ci-dessous.
(Article tiré du site: jardinierparesseux.com)
Peut-on cultiver des légumes à l’intérieur l’hiver? Pas que des semis qu’on repiquera en pleine terre plus tard, mais des légumes qui mûriront dans nos maisons, et cela, pendant la saison froide? Tomates, poivrons, laitues, etc., comme dans un potager extérieur?
Ma réponse est: oui… mais pas facilement.
La lumière manque
Le facteur limitant dans la maison est la lumière. Offrir une température adéquate est facile (les légumes aiment environ la même température que les humains). L’arrosage est facile à organiser, on peut augmenter l’humidité ambiante sans trop de difficulté et il existe un vaste choix de terreaux, engrais, pots, etc. Mais où obtenir l’éclairage intense dont les légumes sont friands? L’été, devant une grande fenêtre faisant face au sud, on y parvient, mais l’automne et l’hiver, avec les jours courts et gris et la très faible intensité du soleil… pas autant.
Mais ne perdons pas espoir: il y a quand même des possibilités.
Les voici, par ordre de facilité.
Les germes
Il est très facile de faire germer les graines de nombreux légumes et céréales à l’intérieur. En fait, tout ce qu’il vous faut est un pot Mason et un morceau de moustiquaire plastique. Et vous aurez des «légumes» à manger très rapidement, en environ une semaine, sans lumière aucune si vous préférez, ou encore, avec seulement un éclairage normal d’intérieur. J’explique la technique ici.
Pourquoi les germes sont-elles si faciles à réussir? Parce que vous allez récolter les plants très jeunes, quand ils sont encore en traine de germer, avant que le manque de lumière ne leur nuit.
Les pousses
C’est presque la même chose que les germes, mais vous semez les graines dans du terreau cette fois-ci… et vous les récoltez quelques jours plus tard que les germes, dans 2 semaines environ, quand les cotylédons (les premières feuilles) sont pleinement développées. Et là, un éclairage plus intense est nécessaire: un bord de fenêtre ensoleillée ou une place sur une lampe fluorescente, par exemple.
Vous pouvez récolter vos pousses aux ciseaux ou encore, les arracher du terreau en rinçant bien pour les consommer avec leurs racines: au choix. Après, vous en semerez d’autres.
Voici quelques légumes faciles à cultiver comme germes ou pousses:
amarante
avoine
basilic
betterave
blé
brocoli
carotte
cerfeuil
chou
épinards
fenouil
haricot mung
laitue
lentille
luzerne
maïs
moutarde
oignon
persil
pois
pois chiche
radis
riz
roquette
seigle
sésame
soya
tournesol
trèfle
1 ) SINGE TITI
Cette photo, publiée par l’ONG Conservation International le 12 août 2010, montre une espèce de singe encore inconnue : le Callicebus caquetensis, ou singe titi, découvert en Amazonie colombienne près des frontières de l’Équateur et du Pérou. Cette nouvelle espèce a été découverte par le Dr Thomas Defler, le Dr Marta Bueno et l’étudiant Javier García, avec l’aide de Conservation International. Ce singe fait la taille d’un chat, a un pelage brun-gris, mais ne porte pas la barre blanche sur son front comme la plupart des Callicebus.
2) CRABE ROUGE À POIS BLANCS
Cette photo (non datée) a été fournie par le parc national de Kentin à Taïwan, le 5 janvier 2010. Elle montre une espèce de crabe rouge à pois blancs trouvée sur une plage de Pingtung, au sud de Taïwan. Le professeur Ho Ping-ho, de la National Taiwan Ocean University, a expliqué qu’il avait découvert cet animal couleur fraise en étudiant l’impact environnemental d’un naufrage sur les plages du parc national survenu l’année passée.
3) DRAGON DE MER ROUGE
En février 2015, les scientifiques de l’Institut d’océanographie Scripps ont trouvé une nouvelle espèce de dragon de mer, proche de l’hippocampe, dans l’ouest de l’Australie. Ce dragon de mer couleur rubis vit dans les eaux profondes et porte le nom scientifique de Phyllopteryx dewysea.
4) SATYRE ATTENBOROUGH
Identifié par une équipe de chercheurs internationaux menée par Andrew Neild, du Muséum d’histoire naturelle de Londres, et Shinichi Nakahara, de l’université de Floride à Gainesville, ce superbe papillon satyre à points noirs a été nommé en l’honneur de Sir David Attenborough, le 3 décembre 2015. On ne trouve ce papillon que dans les plaines de la forêt tropicale située au nord du bassin amazonien au Venezuela, en Colombie et au Brésil.
5) CRAPAUD À BEC
La découverte de ce crapaud au long nez en forme de bec a été annoncée le 25 novembre 2010 par une équipe de chercheurs environnementaux. Endémique de l’ouest de la Colombie, ce petit crapaud se cache souvent sous les feuilles mortes.
6) GRENOUILLE À PATTES ROUGES
Une nouvelle grenouille du genre Silverstoneia, reconnaissable à ses pattes rouges, a également été découverte par cette équipe de chercheurs dans la même région de l’ouest de la Colombie.
7) NOUVELLE ESPÈCE DE RHINELLA
La troisième et dernière espèce découverte par cette équipe de chercheurs est celle d’une minuscule grenouille aux yeux couleur rubis, du genre Rhinella. Les chercheurs ont expliqué qu’ils avaient trouvé ces trois espèces un jour où elles étaient particulièrement actives, un comportement rare chez les amphibiens.
8) OLINGUITO
Cette photo non datée fournie par l’institut Smithsonian représente un olinguito, une nouvelle espèce de carnivore découverte en 2013. L’olinguito (Bassaricyon neblina) a été mal identifié pendant plus d’un siècle. C’est aussi la première espèce de carnivore découverte sur le continent américain en 35 ans.
9) NOUVELLE ESPÈCE DE PHYLLOSTOMIDAE
Cette étrange chauve-souris a été remarquée pour la première fois en 2008 dans le parc national Chu Mom Ray, au Vietnam. La nouvelle espèce, dont le nez rappelle une feuille, pourrait avoir des cris d’écholocation plus développés que ses congénères.
10) ROUSSETTE DE BALI
Sur cette photo du Commonwealth Scientific and Industrial Research Organisation ou CSIRO (Organisation australienne pour la recherche scientifique et industrielle), on peut voir une espèce de roussette récemment découverte à Bali le 22 mars 2007, ou plus exactement à Jimbaran, en Indonésie. Entre 2001 et 2006, un recensement a permis la découverte de 20 nouvelles espèces de requins et de raies en Indonésie. C’est dans cette région du monde qu’on trouve le plus grand éventail de requins et de raies.
11) NOUVELLE RAIE-GUITARE
Voici une espèce de raie également découverte dans les eaux de Jimbaran en Indonésie.
12) HIMANTURA HORTLEI
Toujours aux alentours de Jimbaran en Indonésie, on a découvert cette nouvelle espèce de raie du genre Himantura.
13) NOUVEAU POISSON SCORPION
Cette nouvelle espèce de Scorpaenidé a été trouvée dans la Chowder Bay de Sydney, en Australie. C’est le Dr Hiroyuki Motomura qui tient le poisson dans ses mains sur la photo, prise le 8 juin 2005.
14) BAYEROTROCHUS PHILPOPPEI
Cette photo en gros plan, prise au Muséum national de Manille aux Philippines, le 7 février 2007, montre les détails très délicats de l’une des coquilles les plus rares du monde. Cette espèce d’escargot marin a été découverte début 2006 près de l’île Minadano au sud des Philippines par Guido Poppe, directeur de Conchology Inc., qui l’a nommée après son fils Philippe. Selon lui, cette coquille rarissime vaut 10 000 $US. Après l’avoir trouvée, Guido Poppe l’a donnée au Muséum national avec d’autres trouvailles du Panglao Marine Biodiversity Project, qui a découvert plus de 2000 nouvelles espèces de crustacés et de mollusques dans les eaux des Philippines. Philippe Bouchet, du Muséum d’histoire naturelle de Paris, a déclaré que cette expédition scientifique était le recensement de mollusques et de coraux le plus détaillé jamais effectué.
15) TIMEMA CRISTINAE
Cristina Sandoval, une scientifique de la réserve de Coal Oil Point à Santa Barbara, en Californie, a découvert cette nouvelle espèce de phasme dans les montagnes de Santa Ynez et Santa Monica. L’insecte est donc nommé après elle.
16) SCINQUE DE BORNÉO RAYÉ
Le professeur Christopher Austin, conservateur au Muséum des sciences naturelles de Louisiane, montre un spécimen préservé d’une nouvelle espèce de scinque de Bornéo, le 16 janvier 2007 à Bâton-Rouge. Bornéo est un tel foyer de prolifération de nouvelles espèces animales que World Wildlife Fund (WWF) a rapporté 52 découvertes d’espèces en 2006 seulement.
17) PSEUDACRIS FERIARUM
Cette photo d’archive non datée montre une grenouille de l’espèce Pseudacris feriarum, découverte par Emily M. Lemmon en Louisiane en 2001.
18) CTÉNOPHORE CYDIPPIDA
Cette photo publiée par le Census of Marine Life en décembre 2014 dévoile une nouvelle espèce de cténophore, le cydippida, découverte dans l’océan Arctique par des scientifiques partis en expédition pendant un mois.
19) CREVETTE À ARMURE
Le 5 février 2007, le Dr Chan Tin-yan de l’université d’océanographie de Taïwan montre une grande crevette à armure, ou Glyphocrangon, découverte lors d’une expédition en 2005.
20) ENYALIOIDES RUBRIGULARIS
Le scientifique Omar Torres Carvajal montre un spécimen de saurien Enyalioides rubrigularis, un lézard découvert il y a deux ans. Trois nouvelles espèces ont été dénichées au Pérou et en Équateur.
21) SCAPTIA BEYONCEAE
Une nouvelle espèce de mouche, du sous-genre Plinthina, a été nommée en l’honneur de la chanteuse Beyoncé, le 13 janvier 2012 en Australie. C’est un chercheur de l’Australian National Insect Collection qui l’a baptisée ainsi.
22) MÉDUSE IRUKANDJI
La nouvelle méduse irukandji, considérée par les chercheurs comme l’une des créatures les plus venimeuses de la planète, est photographiée le 22 avril 2004 au large de Broome, au nord-ouest de l’Australie. Des scientifiques australiens ont découvert trois nouvelles espèces de cette méduse grosse comme un dé à coudre (sans compter ses tentacules de 30 centimètres) lorsqu’un Américain et un Britannique sont morts de ce qu’on appelle le « syndrome d’irukandji » dans les eaux tropicales du nord du pays. Il n’existe aucun antidote contre la brûlure d’irukandji, qui provoque des douleurs atroces et cause occasionnellement la mort.
23) GECKO
Le scientifique français Ivan Ineich montre une espèce de gecko encore jamais vue et baptisée Lepidodactylus buleli au Muséum d’histoire naturelle de Paris, le 7 novembre 2008. Ce gecko a éclos à Paris d’un œuf prélevé dans la forêt de la côte ouest de l’île Espiritu Santo, au Vanuatu.
24) BAUDROIE
Cette nouvelle espèce de baudroie a été découverte en août 2015 dans le golfe du Mexique entre 1000 et 1500 mètres de profondeur. C’est un chercheur du Halmos College of Natural Sciences and Oceanography, de la Nova Southeastern University, qui l’a trouvée.
Source:
Textes et photos: www.msn.com/fr-ca/actualites/science-et-techno
Petit aperçu…
Chaque année, près de 100 millions crabes rouges quittent leur habitat en direction de la mer avec un seul but: se reproduire. Quoi de mieux qu’une belle plage pour se lancer dans action. C’est sur Christmas Island que le tout se passe. Un spectacle naturel fascinant et très rouge. Il y a des crabes partout, dans les rues, sur les ponts construits juste pour eux et dans des tunnels construits pour faciliter leur parcours. Malheureusement, 1 million d’entre eux ne se rendront pas jusqu’à la fin. Pour ce qui est de ceux qui s’y rendent, la bataille est loin d’être fini car les mâles doivent conquérir les femelles.
Quelques photos trouvées sur Google:
Ils ont construit un pont pour les aider à traverser la rivière…
Ah oui! Même les rues ferment pour la fameuse migration.
Un peu sur l’île Christmas…
Ou en français: l »île de Noël, est un territoire extérieur australien situé dans l’océan Indien, à environ 350 km de l’île de Java, l’île est large de 14 km, longue de 19 km et couvre une superficie de 135 km². La capitale est Flying Fish Cove. Deux tiers de la superficie de l’île ont été déclarés parc national.
Aussi, depuis 2001, l’île abrite un centre de rétention pour immigrés.
Pour plus d’info sur l’île Christmas:
Les Proteidae sont une famille d’urodèles. Elle a été créée par John Edward Gray en 1825. Ces espèces sont appelées communément protée ou necture selon le genre auquel elles appartiennent.
Les espèces de ses deux genres se rencontrent soit aux États-Unis et au Canada pour le genre Necturus, soit sur les rivages de l’Adriatique pour le genre monotypique Proteus.
Les espèces de cette famille sont des amphibiens pédomorphiques néoténiques, ils conservent leur aspect juvénile à l’âge adulte.
Source: http://fr.wikipedia.org/wiki/Proteidae
La crevette nettoyeuse Stenopus hispidus, est une crevette de petite taille, à peine une dizaine de centimètres de longueur. Elle se caractérise par son corps et ses grandes pinces recouvertes de larges bandes rouges et blanches. Elle dispose de 2 paires de longues antennes de couleur blanche.
Répartition Géographique
La crevette nettoyeuse se rencontre principalement dans la mer des Caraïbes mais elle est également présente dans les eaux tropicales de l’océan Indien et l’océan Pacifique.
Habitat
La crevette nettoyeuse, Stenopus hispidus, se rencontre de la surface jusqu’à une quinzaine de mètres de profondeur. Elle fréquente les nombreuses anfractuosités que recèlent les récifs coralliens.
Alimentation
La crevette nettoyeuse se nourrit principalement de parasites véhiculés par les poissons mais également de petits crustacés.
Reproduction
La femelle est plus grosse que le mâle et il n’est pas rare de rencontrer au détour d’une anfractuosité un couple blotti à l’intérieur dans le haut avec la tête en bas. La femelle dont le cycle de ponte est régie par ses mues, porte ses œufs pendant environ 6 semaines jusqu’à éclosion pour donner naissance à de petites larves qui se développeront en pleine eau.
Le Saviez-Vous?
La crevette nettoyeuse passe sa journée à l’attente du poisson en quête d’une petite toilette.
Souvent en groupe avec ces congénères ou en compagnie d’autres crevettes nettoyeuses, elles forment de véritables « stations de nettoyage » à la disposition des poissons qui ne manquent pas de fréquenter les lieux.
Source:http://www.auxbulles.com/decouverte-biologie-crevette_nettoyeuse_stenopus_hispidus.html