Coupe Rogers Montreal 2012

Ce n’est pas la pluie qui a freiné la foule pour participer à la journée familiale de la Coupe Rogers de Montréal ce dimanche, 5 août 2012. Les activités ont débutés à 9 heures. Il y avait des exposants tels que Uniprix, Lacoste, Nike, Adidas, Rogers, La Banque Nationale, Polo Ralph Lauren, Lindt, Iris et autres, qui offraient des petites gratuités, des échantillons et des jeux familiales.

 

Le tournoi se terminera le 13 août 2012 au stade Uniprix de Montréal.

Pour plus d’informations visitez le site officiel: Coupe Rogers (Rogers Cup)

 

Photos: Malena Paredes

 

 

25è anniversaire du Festival de montgolfières de Gatineau

Le Mouvement Desjardins et Loto-Québec, célèbrent le 25e anniversaire du Festival de montgolfières de Gatineau du 31 août au 3 septembre 2012, au parc de la Baie.

Des grandes vedettes telles que KC and the Sunshine band, Simple Plan, Isabelle Boulay et Éric Lapointe et autres invités spéciales seront présentés sur la Scène Loto-Québec.

Un festival plein de chaleur et de divertissement à ne pas manquer.

Pour plus d’information, veuillez visiter le site officiel: www.montgolfieresgatineau.com

 

Photo: infovelo.com

 

L’International des Feux Loto-Québec

Crédit photo: vizzion50.com

 

C’est avec fièrté que les pays tels que le Japon, la Suisse, le Canada, la Grèce, la France, le Portugal, l’Italie et les Étas-Unis, on démontrés leurs magnifiques lumières avec les fameux feux d’artifices annuels de Loto-Québec. Présentés par Telus depuis le mois de juin, les feux ont attirés des millions de personnes de patout dans le monde. C’est un évènement exemplaire de ce que Montréal a pour offrir à son peuple et à ses visiteurs.

Ne manquez surtout pas la grande finale qui aura lieu le vendredi 3 août 2012. Pour plus d’information veuillez visiter  le site officiel.

Les animaux du sud: Le Sarcoramphe roi

 

Le Sarcoramphe roi ou Vautour pape (Sarcoramphus papa) est une espèce de grand vautour d’Amérique centrale et du Sud de la famille des Cathartidae. Il vit principalement dans les forêts tropicales de plaine qui s’étendent du Sud du Mexique au Nord de l’Argentine. Il est le seul membre survivant du genre Sarcoramphus, les autres membres de celui-ci ne sont connus que commefossiles.

Son plumage est essentiellement blanc, avec du gris et du noir au niveau des plumes de la collerette qu’il possède au bas du cou, des ailes et de la queue. Sa tête et son cou sont déplumés, avec des couleurs de peau variables : jaune, orange, bleu, violet et rouge. Il est très reconnaissable par sa caroncule jaune au-dessus du bec. Ce vautour est un charognard ; il est souvent le premier à faire une brèche dans la peau d’une nouvelle carcasse et il chasse les plus petites espèces de vautours aux alentours pour se nourrir seul. Il peut vivre jusqu’à 30 ans en captivité et possède 40 paires de chromosomes.

Il est très populaire dans les codex mayas ainsi que dans le folklore local. Bien que figurant actuellement comme peu menacé de disparition sur les listes de l’UICN, il est en diminution principalement par la perte de son habitat.

 

On le trouve sur environ 14 millions de kilomètres carrés entre le sud du Mexique et le Nord de l’Argentine. En Amérique du Sud, il ne vit pas à l’ouest de la cordillère des Andes, sauf dans l’ouest de l’Équateur, au nord-ouest de la Colombie et du nord-ouest du Venezuela. Il vit essentiellement dans les forêts primaires des plaines tropicales ainsi que dans les savanes et les prairies situées à proximité de ces forêts. On le voit souvent près des marais et des endroits marécageux dans les forêts. Il est souvent le plus abondant, ou même le seul, vautour présent dans les forêts primaires des plaines de son espace de distribution, mais dans la forêt amazonienne, il est généralement plus rare que le grand urubu tandis qu’il est généralement surpassé en nombre par les Urubus à tête jaune, l’à tête rouge et noirs dans les habitats plus ouverts. Généralement, ils ne vivent pas au-dessus de 1200 mètres Ils habitent les nouvelles forêts ou au-dessus de la canopée.

Le Sarcoramphe roi se nourrit uniquement de charognes, et, contrairement à certains vautours du Nouveau Monde, on n’a pas connaissance qu’il achève de tuer des animaux malades ou mourants pour se nourrir. Il mange souvent les poissons échoués le long des berges mais ne vient pas dans les décharges villageoises pour récupérer les denrées alimentaires. Même s’il a une vue perçante qui pourrait lui permettre de trouver sa nourriture, il existe deux théories sur la façon dont il trouve précisément les charognes. Certains prétendent qu’il utilise son sens de l’odorat pour trouver les cadavres d’animaux. D’autres estiment qu’il n’a pas d’odorat et suit les urubus, qui ont un sens de l’odorat poussé, pour trouver les carcasses. Une étude récente a démontré que le Sarcoramphe roi pouvait trouver des charognes dans la forêt sans l’aide d’autres vautours, suggérant qu’il pouvait localiser sa nourriture à l’aide de son seul odorat. Il mange surtout des charognes dans la forêt, même si on sait qu’il peut s’aventurer au-dessus des savanes voisines pour rechercher sa nourriture. Une fois qu’il a trouvé une carcasse, le Sarcoramphe chasse les autres vautours grâce à sa taille et à son fort bec. Cependant, face au Condor des Andes, il se retire toujours.

Utilisant son bec pour entailler la peau, c’est lui qui fait la première coupe dans une nouvelle carcasse. Cela permet aux vautours plus petits, au bec plus faible, qui ne peuvent pas ouvrir une carcasse, d’y avoir accès après que le Sarcoramphe roi s’est nourri. Il a une langue râpeuse, ce qui lui permet de retirer la moelle des os. Généralement, il ne se nourrit que de la peau et des parties les plus dures des tissus de la carcasse.

 

Source: Wikipedia

Chambre de Commerce Québec-Floride

 

UNE NOUVELLE INITIATIVE POUR RENFORCER LES RELATIONS QUÉBEC-FLORIDE

Montréal, le 30 juillet 2012- Après le grand succès de ses trois missions commerciales en Floride des dernières années, la Chambre de commerce Québec-Floride (CCQF) ajoute une nouveauté à son programme : une mission commerciale multisectorielle au Québec. Les 2 et 3 octobre prochains, la CCQF y recevra une douzaine de compagnies floridiennes intéressées à investir ou à créer des partenariats d’affaires sur le marché québécois.

Source: Destination Soleil

Les animaux du sud: L’Albatros à pieds noirs

L’albatros à pieds noirs est un petit albatros. Son plumage est entièrement sombre avec des marques blanches derrière l’œil et à la base du bec.

Cette espèce se rencontre principalement dans les îles Hawaii, où elle cohabite avec l’albatros de Laysan, mais aussi dans les îlesBonin, près du Japon. Hors de la période de reproduction, elle vagabonde dans tout le Pacifique Nord.

L’albatros à pieds noirs niche en colonies. Le nid est un simple creux dans le sable dans lequel un unique œuf est pondu. L’incubation dure 65 jours. Les deux parents protègent le poussin pendant les 20 premiers jours ensuite ils partent pêcher en mer et le ravitaillent régulièrement. Le poussin est indépendant au bout de 140 jours environ. Les couples d’albatros à pieds noirs sont unis pour la vie, les oiseaux ne commencent à se reproduire que vers l’âge de 6 ans.

Ils peuvent vivre jusqu’à 50 ans.

Cette espèce se nourrit principalement de poissons et de calamars.

Comme tous les autres albatros, l’albatros à pieds noirs est vulnérable aux palangres, environ 4000 oiseaux sont tués chaque année de cette manière. L’ingestion de matière plastique est aussi une cause de mortalité importante.

Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Albatros_à_pieds_noirs

Actualités: Pérou

La plus grande fête Péruvienne à Montréal aura lieu le dimanche, 29 juillet 2012 au parc Jeanne-Mance  de 11h à 21h. Parmi les diverses activités, vous aurez droit  à des musiciens de merengue, salsa, bachata et autres genres venant directement du Pérou tels que : Cumbia 5, Kevin Bruce, Revolver, John Kelvin, Grupo  Mestizo, Trio sol y mar et des artistes de danse comme Todas Las Sangre et Esencia del Peru.

Voir le site officiel

 

 

Les animaux du sud: le phaétan à bec jaune

Le phaéton à bec jaune

Source: http://www.oiseaux-birds.com/fiche-phaeton-bec-jaune.html

L’adulte a le plumage blanc sur presque tout le corps.

Sur le dessus des ailes, on peut voir une bande noire en diagonale sur l’intérieur des ailes, et des primaires externes noires. L’étendue de cette couleur est variable.

La queue est blanche avec deux longs « serpentins » au centre.

Les parties inférieures sont blanches.

La tête est blanche, avec une ligne noire en travers de l’œil, partant des lores et rejoignant la zone auriculaire. Le bec pointu est jaune orangé vif. Les yeux sont brun foncé. Les pattes et les doigts sont gris foncé.

Les deux sexes sont semblables.

Le juvénile présente des barres noires irrégulières sur le dessus, et il n’a pas les longs serpentins de la queue. Son bec est plus jaune que celui des adultes. Il atteint sa maturité sexuelle vers l’âge de quatre ans.

CRIS ET CHANTS : Le phaéton à bec jaune est habituellement silencieux en dehors des colonies de reproduction. Il est surtout bruyant en vol, au cours des vols nuptiaux en particulier. Il émet des cris répétés et stridents. Il crie aussi fortement au nid s’il est menacé ou simplement dérangé. En revanche, les parents émettent des sons doux quand ils nourrissent les poussins.

HABITAT :

Le phaéton à bec jaune est pélagique. Il peut quand même fréquenter les côtes pour se nourrir. Cette espèce se reproduit sur de petites îles océaniques, sur des falaises, ou parfois dans une fourche d’arbre.

DISTRIBUTION GEOGRAPHIQUE:

Le phaéton à bec jaune se trouve dans la partie tropicale de l’Atlantique, dans l’ouest du Pacifique et dans l’Océan Indien. Il se reproduit dans les îles des Caraïbes et vers le nord jusqu’aux Bermudes.

COMPORTEMENTS DANS LA VIE SAUVAGE :

Le phaéton à bec jaune se nourrit de petits poissons, surtout des poissons volants, des calmars et des crabes. Il capture ses proies en plongeant d’une hauteur de 20 mètres environ, comme les fous. Cependant, les poissons volants sont souvent capturés en vol.

Il se nourrit habituellement seul ou en couples. Les proies sont souvent détectées en voltigeant au-dessus de l’eau. Le phaéton à bec jaune avale sa prise avant de s’envoler.

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Petit regard sur l’histoire de l’Astrologie

Astrologie d’hier, d’aujourd’hui et de demain

Source: ARIANA (Association pour la Recherche, et l’Information en Astrologie NAturelle)

Qui dit astrologie dit « Sciences Occultes », dit « Savoir Traditionnel »… voire. L’astrologie est-elle « occulte » ? N’est-elle pas plutôt occultée par trois siècles de scientisme borné, d’intolérance matérialiste, d’aveuglement positiviste ? L’astrologie est-elle une connaissance »traditionnelle » ? Si c’est le cas, qu’est-ce que la « Tradition » ?

Par définition, c’est un ensemble plus ou moins cohérent et homogène de manières de penser, de croire et d’agir qui se transmet de génération en génération. C’est une connaissance accumulée au fil des âges, riche des observations, réflexions, expériences, intuitions, rêves et états d’âme de millions d’êtres humains, chaque culture et chaque époque apportant sa contribution, plus ou moins novatrice et originale, à l’édifice fluctuant du savoir collectif. La« sagesse des grands anciens » existe, certes. Elle est néanmoins perpétuellement réactualisée par les découvertes des « petits modernes » dont certains, un jour, deviendront à leur tour des « grands anciens » après avoir été violemment critiqués et rejetés par les conservateurs de leur siècle. Car – c’est une immémoriale Tradition – le conservatisme et le traditionalisme sont les pires ennemis d’une Tradition bien comprise et bien vivante.

Il n’est donc pas question de rejeter, dénigrer ou transgresser puérilement, au nom d’une mythique « modernité », les enseignements que nous a légués laTradition astrologique, c’est-à-dire l’astrologie d’hier. Mais il n’est pas interdit de porter un regard actuel et critique sur la façon dont les astrologues du passé concevaient la relation Homme-Ciel à l’aune des connaissances physiques, mais aussi des mythes, modèles et représentations du monde dominants à leur époque. C’est en élaguant les branches mortes, en prenant acte des erreurs et errements, en reformulant et précisant certains points de doctrine que l’on fera fructifier cet enseignement traditionnel en y intégrant les connaissances et découvertes les plus récentes, tant en astronomie qu’en ce qui concerne le fonctionnement de l’être humain.

S’il y a bien continuité du savoir traditionnel, depuis les astrologues-astronomes mésopotamiens jusqu’à nos modernes scientifiques, il se produit parfois de soudaines discontinuités dans le champ du savoir. C’est ce que l’on appelle les « coupures épistémologiques ». Par exemple, jusqu’à Copernic (1473-1543), tous les savants, astronomes et astrologues compris, étaient persuadés que l’univers était géocentrique, c’est-à-dire que la Terre était située au centre du monde. A partir du moment où Copernic a définitivement démontré que les planètes, y compris la Terre, tournaient autour du Soleil, c’est tout un pan multimillénaire du champ du savoir qui s’est écroulé : notre vision du monde en était radicalement bouleversée, et nous découvrions de nouvelles réalités physiques, jusqu’alors insoupçonnées. Et néanmoins, Copernic n’a pu aller jusqu’au bout de sa découverte – et non de son invention – qu’en exploitant les forces et faiblesses d’un savoir traditionnel, certes largement erroné et insuffisant, mais assez riche pour permettre de conquérir quelques vérités de plus sur le grand territoire de l’inconnu.

Il en est de même en ce qui concerne l’astrologie. Elle s’est construite progressivement, par accumulation d’observations, de réflexions et de découvertes, et non par la soudaine révélation initiale d’une Tradition immémoriale, figée et définitive.

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Parlons de tout…sans filtre.