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Communiqué reçu de l'Équipe Spectra 

Un de nos plus grands plaisirs d’hiver est sans conteste la Nuit blanche à Montréal. Et pour cause ! En une seule soirée, on nous donne l’occasion inespérée de participer à plus de 200 activités pour la plupart gratuites, autant d’étoiles qui mettront le feu à cette folle nuit et illumineront la ville dans tous les sens du mot. Cette13e édition ne fait bien sûr pas exception, ajoutant même un petit je ne sais quoi de plus avec son thème de l’année, le Rouge, qui se présentera de bien des façons à travers les multiples lieux disséminés dans 3 quartiers et 2 pôles. Comme toujours, la Nuit appartient à tous, aux petits comme aux grands, et on trouvera de quoi pour tous les goûts, tous les types, tous les plaisirs, tout en découvrant sous de nouvelles couleurs la métropole qu’on croyait si bien connaître. C’est un rendez-vous entre amis ou en famille le samedi 27 février

La Nuit blanche commence sur le site extérieur gratuit de MONTRÉAL EN LUMIÈRE

Avec tant d’activités, difficile de savoir où commencer. Le site extérieur gratuit de MEL est assurément une valeur sûre : avec ses multiples activités qui s’étendent sur la place des Festivals, l’esplanade de la Place des Arts, la promenade des Artistes et la rue Sainte-Catherine, on aurait déjà de quoi remplir toute sa nuit ! Mieux encore, la fête y règne en quasi permanence car le site ouvre dès midi, ce qui fait qu’on peut commencer sa « nuit » vraiment tôt ! Aussi, il sera tentant d’y revenir à plusieurs reprises au cours de la journée et de la soirée, aussi bien pour s’amuser que pour refaire le plein d’énergie avec les multiples Station gourmandes. Jusqu’à 3 h, on y trouvera des activités en continu — les installations interactivesARTLUX présentée par Bell (qui permet de créer des œuvres numériques projetées en direct avec de la lumière sur soi !) et L’Îlot de chaleur (la première œuvre dévoilée du futur parcours d’installations technologiques interactives Illuminart, un feu d’ampoules qui s’active grâce à la chaleur des festivaliers !), ainsi que la Tyrolienne RBC propulsée par Arbraska, la super Glissade urbaine le Lait et la Mini-glissade pour les petits, pour ne nommer qu’elles —, et bien d’autres façons de s’amuser. À 20 h, on part le bal avec une belle folie sur la scène RBC, la projection-spectacle-événement Elvis Gratton Picture Show, un show éclaté avec le plus truculent des héros de notre cinéma, la diffusion des meilleurs moments des films du King et Misteur Valaireen prestation. Et la danse battra son plein grâce aux DJ Lebaron (Aim party) (21 h) et Alexi Delano (23 h), appuyés par les créations visuelles de VJ de Normalboysandgirls ! Notons en passant que, grande nouveauté cette année, la Nuit blanche ne fermera pas le festival comme elle le fait habituellement, puisque l’horaire de cette édition de MONTRÉAL EN LUMIÈRE a été prolongé pour la semaine de relâche, ce qui fait qu’on pourra profiter du site extérieur encore plus longtemps !

La Nuit blanche au max

Pour maximiser la fête, les organisateurs de la Nuit blanche et la STM ont pensé à tout. Le métro sera ouvert toute la nuit pour l’occasion (au tarif habituel) et un service gratuit de navettes(13 navettes, 4 circuits et 58 arrêts) sera offert toutes les 10 à 15 minutes de 20 h à 3 h, reliant les activités et les quartiers Vieux-Montréal, Quartier des spectacles et Centre-ville etPlateau-Mont-Royal et Mile-End. Les pôles Parc olympique et Ligne Bleue seront quant à eux accessibles en métro et une navette joint le cinéma Beaubien à la TOHU. Fidèle au poste, CIBL 101,5 Radio-Montréal sera une fois de plus la voix de la Nuit blanche dans les navettes, nous tenant constamment informés sur ce qui se passe durant l’événement nocturne.

 Dessiner sa propre Nuit blanche…

Voici un petit aperçu de la vaste programmation qui nous attend… On peut piger parmi les 11 catégories suivantes ou encore se laisser guider par nos nouvelles suggestions de parcours thématiques (montrealenlumiere.com/ParcoursNb ou p. 9 du programme officiel).

Action

La Maison du développement durable se met au hockey ! On pourra y marquer des buts contre les changements climatiques et peut-être gagner un chandail de hockey, puis poser sur le tapis rouge au côté de symboles canadiens menacés, comme l’ours polaire, et de grands écologistes comme David Suzuki et le vrai Steven Guilbeault ! Soham Yoga, habillé de rouge et éclairé uniquement aux chandelles, offrira des cours de yoga au son de musique live, alors que leCentre sportif du Parc olympique nous invite sur son terrain de jeux flottant Wibit ou à son marathon de séances dirigées de yoga et de zumba aquatique.

Arts visuels

Parmi toutes les galeries du Belgo qui participent à la Nuit blanche, nommonsARPRIM, où la Manitobaine Suzie Smith nous convie à un atelier de sculptures de papier sérigraphié inspiré de son expositionConstruction Paper. Elle nous montrera même comment faire ! Au Goethe-Institut, grâce à une installation à caractère performatif, on apprend que si les livres sont silencieux, ils offrent néanmoins un potentiel sonore grâce aux mots, aux descriptions et aux références musicales. Au Théâtre MainLine, le Festival Art Matters nous invite à sa PROM ! Dans notre tenue la plus folle, on va s’y déhancher jusqu’au bout de la nuit. Performances, installations et œuvres d’art en tout genre en prime ! L’Espace Projet étonne quant à lui avec son œuvre collective originale qui incite à réaliser l’empreinte d’une partie de notre corps et à imaginer comment les innovations génétiques et technologiques pourraient influencer l’avenir de l’humanité.

Cinéma

Sur la place des Festivals, il faut se rendre au #GIFoMATON de l’ONF ! L’expérience nous intègre dans un film d’animation, seul ou en groupe, et on peut ensuite partager notre GIF animé ! À La Passe, le collectif groop*index et evoked response s’associent pour une soirée de collaboration audiovisuelle exclusive entre cinéastes et musiciens expérimentaux montréalais. Plusieurs performances et œuvres en première mondiale. Les Rencontres internationales du documentaire de Montréal et le Centre canadien d’architecturesont ravis d’annoncer le retour tant attendu de leur YouTube Battle ! Le tournoi — 16 équipes s’affronteront armées de leurs vidéos YouTube les plus désopilantes — sera suivi d’un DJ set.NOMAD Nation offre une immersion multisensorielle au cœur de l’Afrique avec le Grand Prix Focus de sa 44e édition (Le cœur de Madame Sabali, commenté par son réalisateur Ryan McKenna) et une piste de danse noyée dans des rythmes irrésistibles d’Afrique et d’ailleurs.

Danse

À l’Espace Cercle Carré, le Laboratoire popmolle présente une expérience sensorielle et immersive où l’interaction entre la danse et les arts numériques explore les possibilités expressives de la mollesse et de l’élasticité avec le collectif Popcore. Avec Studios Vert Prana, le plaisir et la passion sont à l’honneur ! On y essaie le Hula Hoop et on se laisse tourner, rire, bouger, jusqu’à s’en étourdir de bonheur ! Le Carnaval LGBT Massimadi du O Patro Výš englobe bien des plaisirs : paillettes à profusion, gens cool et sympas, la meilleure musique dancehall, soca, samba et afro, danseurs, percussions et ambiance du tonnerre ! L’Auditoire se fait halte chaleur avec une expérience totalement brésilienne : ateliers de danse, prestations et DJ.

Expositions

Le Musée d’art contemporain de Montréal nous invite à découvrir entre autres l’exposition conçue par l’artiste Geneviève Cadieux qui met en lumière la riche Collection du MAC (Matisse, Picasso, Van Dongen, Robert Doisneau, Emily Carr…). On change de ton avec le Musée du Rock’n’Roll et sa plongée dans le Montréal alternatif des années 60 à 80, alors que le Red Light se transformait en Black Light, que la musique appelait la révolution et que le jazz cédait sa place au hardcore. La Grande Bibliothèque étonnera toujours, cette fois avec une exploration virtuelle de 10 des plus fascinantes bibliothèques du monde, conçue en partenariat avec Ex Machina et Robert Lepage, ainsi qu’avec le métier oublié de copiste, qu’on redécouvre en reproduisant à la main un extrait de La bibliothèque, la nuit d’Alberto Manguel, source d’inspiration de l’exposition du même nom. Au Musée du costume et du textile du Québec, on se fait beau en troquant notre tuque pour un élégant chapeau le temps d’une photo ! On découvre l’histoire des couvre-chefs et on déambule parmi les chics tenues qui composent l’exposition Parcours d’une élégante.

Fantaisies

On explore l’hôtel boutique Le Germain, un chocolat chaud du Laurie Raphaël à la main, à travers un parcours où musique, peinture, photographie et métiers d’arts s’installent dans les chambres. Un étage complet est même consacré aux artistes et artisans ! Le Centre de design de l’UQAM triple le plaisir de la découverte avec trois installations originales sur le thème de la démocratie, dont Le cirque des choses sérieuses, une installation circulaire dont l’objectif est d’amener le public — dans de drôles d’isoloirs ! — à se questionner quant à son implication dans la démocratie… Pendant ce temps, la TOHU présente sa 2e édition du Freak show, encore plus déjantée, et propose une incursion dans le monde excentrique des cirques etsideshows freaks d’autrefois. Le Pavillon du parc Saint-Viateur sera quant à lui le lieu de Red Light, une création lumineuse et très hétéroclite, un étrange lupanar loufoque de Karine Saint-Arnaud et du Théâtre sous la main, avec Camille Loiselle-D’Aragon, et l’ouverture officielle du OUF ! Festival Off Casteliers, où on tentera d’établir le nouveau record mondial du plus grand rassemblement de marionnettistes en patins ! Également, de courtes formes en marionnette, le groupe Monogamy et animation sur la patinoire.

Jeux

Plusieurs organismes présentent des soirées de jeux à travers la ville, en collaboration avec Montréal joue. Ils nous convient à un parcours ludique (jeux de société, jeux-questionnaires, jeux d’évasion, jeux vidéo…) d’un bout à l’autre de la ville, notamment chez Le Colonel Moutarde, la Bibliothèque Marc-Favreau, le Centre Pierre-Charbonneau, Nexus SmartBar

Lumière

Au Pavillon de chimie Otto Maass de l’Université McGill, on parle de lumière… littéralement : on apprend tout sur la relation entre la lumière, la chimie et la couleur à travers une série de manifestations scientifiques. Avec Map ta nuit en 3D !, on joue avec toutes les dimensions auLaïka, entre projections architecturales 3D créées par TiND et Ex-Nihilo et musique électronique vibrante d’Ohm Hourani et ses invités.

Mots

Férus de jazz, cette activité de la Médiathèque jazz/La Presse+ de la Maison du Festival est unmust ! Le cofondateur et directeur artistique du Festival International de Jazz de Montréal André Ménard nous raconte 4 décennies vécues au cœur de toutes les musiques. Les anecdotes de cette encyclopédie musicale vivante et redoutable conteur nous feront revivre les moments forts du Festival et nous mèneront au-delà du jazz. À l’Usine C, les mots se mêlent aux chiffres avec la compagnie À DEUX : 48 h avant le spectacle, 10 artistes de la scène reçoivent une contrainte de création choisie par le public puis créent une performance de 10 minutes avec l’aide de 25 acteurs… Le bar de La Licorne se fait plus rigolo avec Mes premiers mots, une lecture des « textes de jeunesse » — lettres d’amour, poèmes, correspondance, cartes postales, articles de journal étudiant… — de plusieurs artistes et amis du théâtre.

Musique

Pour notre plus grand bonheur, le Club Soda récidive avec sa 7e édition de Karnival, LE party incontournable de la Nuit blanche où la diversité montréalaise est mise en valeur. Avec les DJ Kobal, Kyou et Poirier et une troupe de danse endiablée. Le Musée McCord se fait aussi musical en offrant une visite à la cadence de trames musicales conçues par des artistes émergents et liées aux thématiques des expositions. Même le métro s’y met à la station Berri-UQAM, avec Les Étoiles du métro Brass Plus One, Flash-Back, Eclectic Django et Gypsy Vadrouille. On préfère les partys pyjama ? C’est à la Maison des Jeunesses Musicales Canada que ça se passe, pour les 3 à 12 ans, avec une veillée animée tout en musique, jeux rythmiques, percussions corporelles, danses traditionnelles, modernes, futuristes et débridées et même grignotines et rafraîchissements ! Les fans de comédies musicales se tourneront plutôt vers le Centre Segal des arts de la scène et son Broadway Café animé par Noelle Hannibal, où amateurs et professionnels chanteront leurs airs de Broadway préférés. Finalement, à L’Astral, une soirée hip-hop pour souligner le 10e anniversaire de la mort du producteur légendaire Jay Dilla. Les DJ Doc Mad, Toast Dawg, Sev Dee, DJ Manzo et DJ Ephiks accueillent les MC de Detroit Illa J et Frank Knitty Aka The Yancey Boys.

Rires

Au Théâtre Sainte-Catherine, on sera plutôt en mode impro avec la Nuit des 100 Improvisateurs, alors qu’animateurs et improvisateurs changeront de rôle au cours de la soirée et joueront à différents jeux d’impro toujours nouveaux et amusants. L’occasion de rire en prenant un verre ! Les éclats de rire éclateront également au Gesùlors de la soirée La nuit, on rit ! animée par Simon Delisle, en compagnie d’une vingtaine de talentueux diplômés de l’École nationale de l’humour. Finalement, La Rocambolesque à l’Union Française propose plusieurs façons d’apprécier l’improvisation théâtrale, que ce soit sous forme de matchs, de prestations humoristiques ou de jeux interactifs. De plus, cette année, les costumes et accessoires sont à l’honneur !

Art Souterrain

Cette année, Art Souterrain propose quelque 70 projets d’art contemporain dispersés sur un circuit de 13 édifices du Montréal intérieur et souterrain. Une foule de médiateurs seront présents pour guider les festivaliers et offrir un autre regard sur les créations. Pour bien préparer sa visite de cette édition qui a pour thème L’art doit-il séduire ?, on peut télécharger l’audioguide à artsouterrain.com.

Tout savoir sur MONTRÉAL EN LUMIÈRE

Ceci n’est qu’un bref aperçu des activités de la 13e Nuit blanche à Montréal. On trouvera tous les renseignements dans la publication gratuite offerte sur le site du festival et dans tous les lieux d’activités.

Info-Lumière La Presse+ 514 288-9955 ou, sans frais, au 1 85LUMIERES ;montrealenlumiere.com.

Pour la Nuit blanche, des kiosques d’information nous attendent sur le site extérieur de MONTRÉAL EN LUMIÈRE, à La Vitrine (au 2-22) et à la sortie de la station de métro Mont-Royal.

On retrouvera aussi la programmation complète de la Nuit blanche à Montréal sur l’application mobile gratuite pour iPhone et Android. Les festivaliers y dénicheront l’horaire complet, incluant les lieux, la catégorie et la description. Ils pourront trouver les activités les plus proches d’eux grâce aux fonctions radar et réalité augmentée, localiser toutes les activités à l’aide de cartes dynamiques et bâtir leur propre itinéraire Nuit blanche. Aussi, grâce à l’onglet multimédia, il sera facile de partager les photos et vidéos de ses coups de cœur. L’application servira également de lien pour suivre et partager toute l’activité de la Nuit blanche sur Facebook, Twitter et Instagram.

La modération : le plaisir sans les inconvénients

Si la Nuit blanche est aussi appréciée de tant de Montréalais et de touristes, c’est bien sûr en raison de sa folle programmation, mais également de son ambiance festive et sécuritaire. Pour que le plaisir reste justement plaisir, nous tenons à rappeler qu’il est interdit d’apporter del’alcool sur le site extérieur de l’événement — y compris tous les circuits et tous les quartiers où ont lieu les activités —, comme c’est le cas sur tout le territoire de la ville de Montréal.

La 17e édition de MONTRÉAL EN LUMIÈRE aura lieu du jeudi 18 février au samedi 5 mars.

 

Source: L’Équipe Spectra 

Concert SMCQ : Las Meninas ou l’univers de l’enfance revisité

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La Société de musique contemporaine du Québec (SMCQ) propose un concept original pour son prochain concert et convie petits et grands à ouvrir leur cœur d’enfant, le dimanche 28 février (15 h) à la salle de concert du Conservatoire.

Interprété par la pianiste Louise Bessette, l’événement Las Meninas, un grand récital composé de miniatures, offre une succession inédite de quatre cycles pour piano, sillonnant à travers des œuvres aux influences multiples.

Au cœur du programme : les 13 courtes pièces des Scènes d’enfants de Schumann, qui, sous forme d’instantané de la vie enfantine, nous plongent avec délices dans l’univers de l’enfance. Certains thèmes de ces Scènes d’enfant sont ensuite repris dans Las Meninas par John Rea, qui les a réécrites en s’inspirant du style de différents compositeurs.

John Rea revisite Schumann à travers Chopin, Satie, Glass, Stravinsky…
Cet ingénieux exercice de style et de collage intègre notamment les couleurs musicales de Chopin, Satie, Glass, Stravinsky, Vivier, Gougeon… et permet ainsi de découvrir un John Rea aussi rieur qu’érudit. Le public peut ainsi (ré) écouter les univers musicaux respectifs de quelques grands compositeurs romantiques, classiques et contemporains.

Pour s’illustrer sur un tel répertoire, la délicatesse et la virtuosité de Louise Bessette s’imposaient. « L’art pianistique de Louise Bessette sied à merveille l’interprétation de ces chefs-d’œuvre qui nécessitent une grâce simple, naturelle, et sans apprêt », précise Walter Boudreau, directeur artistique de la SMCQ.

D’une miniature à l’autre
Outre la dimension schumanienne reflétée dans le style de différents compositeurs, la citation sera également au cœur de l’œuvre de Simon Bertrand. Ses Miniatures associant en effet la personnalité et les caractéristiques des personnages du tarot de Marseille aux compositeurs d‘ici. Enfin, les petites pièces de José Evangelista trouvent quant à elles un écho folklorique ibérique dans les Monodías Españolas, ajoutant ainsi une petite touche exotique à cet événement.

Un concert tout en miniatures, donc, mais porteur d’une grande dose d’émotion pure et de poésie.

PROGRAMME
Simon Bertrand, 22 miniatures pour piano (extrait)
José Evangelista, Monodías Españolas (1989)
Robert Schumann, Scènes d’enfants, op. 15 (1838)
John Rea, Las Meninas (1990-91)

Louise Bessette, piano

Rappel
Dimanche 28 février 2016, 15 h
Précédé d’une table ronde (14 h 15)
Salle de concert du Conservatoire
4750, avenue Henri-Julien
Métro Laurier/métro Mont-Royal

Billets : smcq.qc.ca514-790-1245

À propos de la SMCQ
Fondée en 1966 à l’initiative du ministère des Affaires culturelles, la SMCQ a été la première institution du pays à se consacrer à la diffusion de la musique contemporaine. Honorant d’abord son mandat par la présentation d’une série annuelle de quelques concerts, elle a connu au fil des ans un développement remarquable en mettant sur pieds plusieurs volets d’activités, notamment pour les jeunes. Prenant à cœur sa position de doyenne en son genre, elle a su démontrer sa capacité à chapeauter des événements récurrents qui impliquent des partenariats aussi nombreux que diversifiés. Son rôle fédérateur et structurant en fait aujourd’hui un acteur marquant du milieu culturel canadien.

 

Source: SMCQ

Championne de surf du Pérou: Analí Gómez

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Aussi connue comme “La Negra”, Analí Gómez est une championne de surf au Pérou.. Elle nage depuis l’âge de 4 ans, a monté sur une planche pour la première fois à 11 ans et deux ans plus tard a décider de poursuivre sa carrière dans ce fabuleux sport extrême. À 29 ans, « La Negra » a remporté un titre mondial  et est récemment devenue championne des Jeux Panaméricain de surf XI qui ont eu lieu fin décembre 2015 à Punta Rocas au Pérou. Punta Rocas est une plage au sud de Lima et est reconnue pour ses vagues parfaites pour les amateurs de surf. Ce dernier titre vient se rajouté aux autres bien sur.

Analí Gómez admet qu’être surfeuse professionnelle ne vient pas sans son bagage, avec des entraînements qui incluent le réveil aux petites heures hivernales pour ensuite enfiler un wetsuit afin d’affronter l’eau glacée pour peut-être avoir un bonne vague. Pour ce qui est de trouver la bonne vague, il y a tout un calcul en arrière sans oublier une grosse concentration afin de trouver l’équilibre et se mettre debout sur la planche pour ensuite la guider sur l’eau en suivant la vague.

Cette une femme qui ne parle pas beaucoup et qui préfère le calme de sa plage à Punta Hermosa (au sud de Lima), entourée de sa famille et ses amis. Elle est la plus jeune de 11 enfants (4 filles et 7 garçons). Ils sont trois à manœuvrer la planche, son frère  José « Jara » qui est aussi champion des grandes vagues et son frère Ito.

Quelques conseils d’Analí Gómez:

  • « Toujours garder le calme ». Dans des situations dangereuses, il vaut mieux rester calme car en crise ou désespoir, la mer profite de nous.
  • « Toujours respecter la mer ». Cette phrase si fameuse est bien vraie. Même pour les plus grands surfeurs du monde, la mer peut toujours surprendre. Il faut la respecter.
  • Avoir une bonne vague est souvent le cadeau de la chance mais pour s’aider soi-même, il faut toujours bouger afin de la trouver car la mer est toujours changeante.

Analí Gómez est une femme de persévérance qui fonce jusqu’au bout afin d’atteindre ses objectifs. Mais même avec toutes ses étapes franchies et sa popularité, elle garde sa simplicité et ses valeurs fondamentales.

Source : Semana Viù, El Comercio
Photos: Javier García-Rosell

Cuba: danse classique par des personnes obèses

A Cuba, une troupe de « Danse volumineuse » permet à des personnes obèses de faire de la danse classique

A mille lieues des silhouettes graciles de la danse classique, une troupe de Cubaines assumant leur obésité répètent les mouvements du «Lac des Cygnes», proposant une esthétique différente adaptée à leur embonpoint.

Au pays de la célèbre chorégraphe Alicia Alonso, dont la rigueur militaire est connue pour torturer les corps parfaits, cette troupe de «Danse volumineuse» a été créé en 1996 par Juan Miguel Mas, devenu depuis spécialiste des mouvements adaptés à la morphologie des personnes en surpoids.

BELGAIMAGE-65946154© Fournis par Metrotime (fr) BELGAIMAGE-65946154

Disposant d’une formation de danse contemporaine, « j’ai éprouvé le besoin de mettre à profit mon expérience (…) pour la transmettre aux corps semblables au mien », explique cet homme replet de 50 ans au discret chignon. « Il m’est donc venu l’idée de créer un espace dans lequel ces personnes pouvaient s’entraîner, progresser et créer des mouvements » correspondant à leur physique.

Depuis 20 ans, ce chorégraphe convoque au moins deux fois par semaine ses danseuses dans son petit appartement du quartier populaire de Marianao pour d’exigeantes répétitions. Après une séance d’étirements, les danseuses exécutent des mouvements simples et gracieux. Pas d’acrobaties ni de sauts, les flexions et mouvements de bras sont privilégiés. Pas d’élévation non plus, puisque ce corps de ballet ne compte aucun homme pour le moment.

Pour ces danseuses non professionnelles, l’équilibre est parfois difficile à trouver au moment de lever la jambe vers l’arrière, et la douleur pointe parfois lorsqu’il faut garder des pauses inconfortables pendant plusieurs secondes. Ces danses « ne vont pas être les mêmes que celles des personnes minces, parce que nous avons un autre poids, une autre morphologie ». Ainsi « nous avons découvert de nouveaux paramètres pour mieux transférer le poids du corps » et d’autres mouvements pour « une meilleure esthétique » adaptée aux personnes en surpoids, explique le chorégraphe.

BELGAIMAGE-88902724© Fournis par Metrotime (fr) BELGAIMAGE-88902724

Réactions mitigées

«Danse volumineuse» a déjà interprété plusieurs oeuvres sur scène, provoquant des réactions diverses du public. « Au moment des premières représentations, il y avait comme un silence funèbre, quelques rires. Certains se levaient et partaient (…) Mais quand le public a vraiment vu notre travail, sa difficulté et le fait qu’il y avait beaucoup d’entraînement derrière, un sens esthétique, ils ont beaucoup applaudi et nous nous sommes gagné un public ». « Plus personne ne se moque maintenant, ils sont attentifs », abonde fièrement la danseuse Rubi Amaro, 34 ans.

BELGAIMAGE-88902710© Fournis par Metrotime (fr) BELGAIMAGE-88902710

Il n’existe pas de limite de poids au sein de «Danse volumineuse». Chaque danseuse affiche de 100 à 120 kilos sur la balance. « J’ai toujours aimé le ballet classique, mais les grosses ne dansent pas le ballet classique (…) Les personnes obèses sont toujours stigmatisées par la société », regrette Maylin Daza, mère au foyer de 36 ans. « Je me suis donc mise à chercher des personnes qui avaient les mêmes caractéristiques que moi, qui aimaient plus ou moins les mêmes choses », poursuit cette métisse à l’imposante carrure.

BELGAIMAGE-88902717© Fournis par Metrotime (fr) BELGAIMAGE-88902717

Danser pour rester en bonne santé

La compagnie a compté jusqu’à une vingtaine de danseurs voici quelques années, mais aujourd’hui seules sept danseuses sont vraiment assidues, après une série de défections et deux décès récents. « Cela n’a pas été une trajectoire facile », raconte Maylin, « nous avons perdu des camarades », mortes « à cause de l’obésité ». Pour M. Mas, hors de question de se décourager, bien au contraire. La danse contribue « à nous sentir en bonne santé et à ne pas ouvrir la porte aux maladies engendrées par le surpoids », plaide-t-il.

A Cuba, 44,3% de la population souffre de surpoids ou d’obésité, selon des chiffres de 2012 du Système de surveillance alimentaire et nutritionnelle (Sisvan). La semaine dernière, les danseuses de la troupe ont eu l’opportunité de se produire au prestigieux Théâtre national de La Havane, à l’initiative d’un groupe d’Américains venus dans le cadre d’un partenariat entre l’Université du Massachusetts et l’Union nationale des écrivains et artistes de Cuba (Uneac).

Vêtues de tutus sur mesure, de pantalons souples et de longs gants blancs, elles ont interprété un passage du plus célèbre des ballets, le «Lac des Cygnes», au grand bonheur des quelques privilégiés présents… et des danseuses elles-mêmes. « Ca y est, je fais du ballet classique ! », s’est exclamée Maylin, la sueur perlant sur son front trop maquillé.

 

L’article se trouve sur metrotime

 

8e Battle of the Bands

Communiqué reçu par l'Équipe Spectra

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La 37e édition du Festival International de Jazz de Montréal présentée par TD en collaboration avec Rio Tinto ajoute un nouveau concert à sa programmation : la 8e édition de la désormais célèbre Battle of the Bands, qui oppose deux prestigieux orchestres dans un duel sans merci de musique et de talent ! Cette année, le Glenn Miller Orchestra, deux fois vainqueur, affrontera leCab Calloway Orchestra pour sa première venue au Festival. Le concert aura lieu le9 juillet à 19 h à la Maison symphonique de Montréal. Les billets pour ce concert sont déjà en vente.

Battle of the Bands VIII: le Glenn Miller Orchestra contre le Cab Calloway Orchestra — 9 juillet, 19 h, Maison symphonique — Le Festival International de Jazz de Montréal poursuit la tradition avec sa 8e Battle of the Bands cet été ! Pour la première fois depuis plus de 25 ans, le célèbre Cab Calloway Orchestra foulera une scène montréalaise ! Dirigé d’une main de maître par Cab Calloway Brooks, le petit-fils de Cab Calloway, l’orchestre légendaire affrontera les vétérans nos 1 de nos Battles : le très prestigieux Glenn Miller Orchestra de New York ! L’orchestre de Glenn Miller entend bien venger sa défaite de 2014 aux mains du Tommy Dorsey Orchestra… Les voici donc plus en forme que jamais, avec tous leurs grands succès, incluant In the Mood.

Le légendaire Glenn Miller Orchestra de New York ramène sur scène ses indémodables classiques tels In the Mood, Moonlight Serenade, Chattanooga Choo Choo, Pennsylvania 6-5000, Strings of Pearls et Junction. Plus de 75 ans après la fondation du célèbre orchestre, la musique de Glenn Miller continue de nous émerveiller. L’orchestre fera certainement revivre les sonorités rythmées de ce temps qui faisaient virevolter chapeaux et robes d’époque. Sur scène, une vingtaine de musiciens et de chanteurs en mettront plein la vue et les oreilles aux spectateurs, pour le bonheur des amateurs de jazz et de swing des années 1930-1940 !

La famille Calloway émerveille le public depuis la fin des années 20. Cab Calloway Brooks et son orchestre, le Cab Calloway Orchestra, poursuivent la tradition et nous présentent encore aujourd’hui la formidable musique du légendaire groupe de jazz. Le jump, le blues, le boogie et surtout le swing, voilà les ingrédients magiques de Cab Calloway Brooks et son orchestre ! Lui-même le petit fils de Cab Calloway, il utilise toujours les arrangements originaux de son grand-père et les meilleurs musiciens de big bands d’Amérique pour éblouir les spectateurs dans le monde entier !

Billets déjà en vente

  • Maison symphonique de Montréal : 1600, rue Saint-Urbain ; 514 842-2112, 1 866 842-2112 ou placedesarts.com

Déjà en vente (description à montrealjazzfest.com)

Festival International de Jazz de Montréal — Melody Gardot / Gregory Porter / CéU / Jazz at Lincoln Center Orchestra avec Wynton Marsalis / Joey Alexander Trio / Stacey Kent / Tord Gustavsen / Bilal / Nir Felder / Florence K.

Jazz à l’année présenté par TD Jordan Officer, Blue Skies / St Germain / Ben Harper & The Innocent Criminals / George Thorogood and The Destroyers / Brad Mehldau solo / Ludovico Einaudi

Pour tout savoir avant tout le monde, on peut s’inscrire gratuitement à l’Infolettre Spectra (infolettrespectra.ca) et recevoir toute l’information concernant le Festival. Pour tous renseignements : Ligne Info-Jazz La Presse+ 514 871-1881, sans frais au1 85JAZZFEST ; montrealjazzfest.com.

La prochaine édition du Festival International de Jazz de Montréal aura lieu du 29 juin au 9 juillet 2016.

 

Source: L’Équipe Spectra

Un plus pendant les fêtes!

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Première édition du Village de Noël de Montréal

Du 17 décembre 2015 au 3 janvier

À la

 

Inspiré des fabuleux Marchés de Noël européens

Animations musicales

Allez découvrir des artisans et créateurs régionaux

Les mets typiques du temps des fêtes sont aussi à l’honneur: crêpes, spécialités alsaciennes et bavaroises, marrons rôtis, vins chauds…

Un Royaume des Lutins près d’un Grand Sapin illuminé et d’une patinoire extérieure

Ne manquez surtout pas la visite du Père Noël !

Entrée gratuite

Horaires :
Du lundi au jeudi de 11 h à 19 h 30
Vendredi et samedi 10 h à 21 h
Dimanche 11 h à 17 h.

L’événement sera fermé le 25 décembre et le 1er janvier.
Le 24 et le 31 décembre, fermeture à 15 h.

Pour obtenir plus de détails sur l’événement visitez lewww.noelmontreal.ca

Montréal en lumière:

Ce communiqué à été reçu par l'Équipe Spectra

 

Grâce à MONTRÉAL EN LUMIÈRE, présenté par RBC en collaboration avec Bell, février est maintenant synonyme de paradis gourmand à Montréal. Et la17e édition du festival consolide cette réputation avec une offre gastronomique irrésistible qui compte des centaines d’activités gourmandes en quelques jours ! D’abord avec les saveurs de notre grande ville chinoise à l’honneur, Shenzhen — une prestigieuse première visite d’Asie dans l’histoire de MEL —, de Boston, ville vedette américaine, et de Laval, région québécoise à découvrir, mais aussi de multiples autres façons par le biais de la cinquantaine de Bonnes Tables du festival et de nos 9 séries pensées pour aider à dessiner un parcours éclairé dans une programmation qu’aucune panse ne saurait entièrement embrasser. Et ça s’en vient vite : du 18 février au 5 mars prochains !

Neuf séries pour un itinéraire personnalisé

Shenzhen, grande ville chinoise à l’honneur

Ville d’immigrants à forte croissance, Shenzhen réunit les traditions gastronomiques de toutes les régions de la Chine, représentant dignement les huit grandes cuisines du pays. Ses ressources naturelles foisonnantes en font un endroit particulièrement propice à la cuisine cantonaise. Riche en couleurs, arômes, parfums et textures, cette cuisine varie au gré des saisons. Pour nous en donner un des meilleurs aperçus qui soient, MEL reçoitAnthony Dong, du Futian Shangri-La de Shenzhen, qui présentera ses Dîners du président d’honneur au Renoir du Sofitel Montréal, ainsi que les chefs Ruitian Yu du Westin Shenzhen Nanshan reçu Chez Chine (Holiday Inn Centre-ville), Mark Wu du Grand Mercure Shenzhen Oriental Ginza reçu chez Europea et Scott Xu du Grand Hyatt Shenzhen reçu chez Toqué!

Boston, ville américaine vedette

Située à la jonction de pâturages et de la mer, la ville de Boston est très fertile en propositions gastronomiques. Pour découvrir ses multiples facettes gourmandes, place à Tim Cushman, O Ya Restaurant (reçu chez Maison Boulud), Tru Lang, Journeyman (Laurie Raphaël), Barbara Lynch, Menton (Pullman), Tim Maslow, Ribelle (État-Major), Jeremy Sewall, ROW34 (Verses),Lydia Shire, Scampo (Le Saint-Gabriel), Ana Sortun, Oleana Restaurant (Graziella) etGregory Torrech, The Beehive (Alexandre et fils).

Laval, région québécoise à découvrir

Juste à côté de notre île s’en trouve une autre qui recèle des trésors culinaires. Avec ses chefs passionnés et ses saveurs diversifiées, Laval a de quoi surprendre. Pour nous faire découvrir ce qui donne la couleur unique au territoire lavallois, les Bonnes Tables recevront les chefsRichard Bastien, Le Mitoyen (reçu au Bistro Laurentien La Coupole), Vincent Raffin, Pâtisserie chocolaterie Raffin (Les Cons Servent) et Jonathan Ranger, Le 20 (EVOO). Laval se présentera aussi sous les traits de producteurs et transformateurs spécialisés à la mezzanine du marché Jean-Talon. On pourra déguster les produits de 10 adresses lavalloises et assister à des ateliers animés par Jean-Paul Grappe, chef-conseil du festival, et 9 maîtres de cuisine de la région invitée. Samedi 20 et dimanche 21 février de 9 h 30 à 17 h.

Planète Montréal

Coup de cœur des festivaliers, cette série qui marie personnalités publiques et menus exquis est de retour ! « Au menu » de ces sympathiques rencontres : le directeur général des Canadiens de Montréal Marc Bergevin (reçu chez Le Richmond Griffintown), les sommeliers Patrick Blondin etNadia Fournier (tous deux Au Petit Extra), Jessica Harnois (Bistro Laurentien La Coupole),Élyse Lambert (Graziella), Guénaël Revel (Ikanos), les musiciens The Lost Fingers (Le Montréal) et Milk & Bone (Lili.Co), les chefs Hakim Chajar (La Fabrique) et Patrice Demers (Accords), le maître chocolatier Yves Bonneau (Le Margaux), le docteur en biochimie Richard Béliveau(Accords – Le Bistro), les acteurs Ingrid Falaise (L’Autre Version) et Martin Watier (La Fabrique), l’animatrice Varda Étienne (L’Autre Version), le designer Denis Gagnon (Accords), le mixologueLawrence Picard et l’homme d’affaires Alexandre Taillefer (tous deux au Ikanos), ainsi que l’agent d’artistes Martin Béliveau (La Fabrique).

Ajoutons à cela la série Esprits libres, qui « héberge » les chefs qui créent des soirées thématiques qui sortent du cadre des autres séries, ainsi que celles dont le nom parle de lui-même : À boire !, 5 à 7+ et Brunchs et lunchs.

Les Événements spéciaux

Les Dîners du président d’honneur Anthony Dong

Pour la première fois, le restaurant Renoir recevra le président d’honneur du festival et, avec lui, la tradition culinaire de Huaiyang, aux spécialités savoureuses et parfumées. Deux soirées uniques avec Anthony Dong, chef du Futian Shangri-La de Shenzhen, qui préparera un repas 7 services qui s’annonce exceptionnel, avec l’aide du chef Olivier Perret et sa brigade. Renoir du Sofitel Montréal, vendredi 26 et samedi 27 février, 18 h 30.

Des Repas conviviaux aux saveurs chinoises avec Ruitian Yu

Quel meilleur hôte montréalais pour un repas convivial chinois que Chez Chine ? Ce restaurant du quartier chinois, qui ouvre au quotidien une fenêtre sur la culture culinaire asiatique, recevra le chef du Westin de Shenzen, Ruitian Yu, aux influences marquées par la cuisine de Guangdong et les techniques contemporaines, qui préparera un typique repas familial cantonais 3 services. Chez Chine (Holiday Inn Montréal Centre-ville), vendredi 26 et samedi 27 février, 18 h 30.

Soirée découverte chefs et fromages d’ici — Soirée spéciale Les Chefs!

Une soirée qui réunira 4 chefs qui se sont distingués lors de l’émission Les Chefs! à Radio-Canada. Les jeunes chefs — Suzy, Pierre-Olivier, Francis et Antoine — devront une fois de plus faire preuve d’imagination et d’audace lors du concours Toqués des fromages d’ici pour concocter, pour 400 convives-juges, 12 créations culinaires à partir de fromages d’ici… tout en courant la chance de gagner la bourse de 5000 $ offerte par Les Producteurs de lait du Québec. Présenté par les Fromages d’ici. Samedi 20 février, 18 h 30, Grand Salon du Fairmont Le Reine Elizabeth.

La Fête des fromages d’ici

L’événement est de retour pour une 10édition, offrant au public l’occasion de rencontrer les fromagers du Québec. Ceux-ci se feront un plaisir de répondre aux questions des visiteurs, de parler de leurs créations et des spécificités régionales qui donnent son goût au fromage et forgent son caractère. Tous pourront déguster des « classiques » québécois et faire des découvertes surprenantes, en plus de goûter d’excellents vins et bières. Présenté par lesFromages d’ici. Du jeudi 18 au samedi 20 février, Grande-Place du complexe Desjardins. Accès gratuit.

Le Mondial des Cidres 2016

Un événement qui nous invite à apprécier le savoir-faire d’une vingtaine de cidriculteurs artisans d’ici et à découvrir le cidre dans toutes ses déclinaisons. Grande-Place du complexe Desjardins, du jeudi 25 au samedi 27 février (programmation et renseignements :montrealenlumiere.com).

Conférence sensorielle sur l’érable — De saveur, de science et de sève

Le Cœur des sciences nous invite à plonger dans un univers étonnant. Qu’est-ce qu’une bonne érablière et comment conserver nos érables ? Peut-on faire du sirop avec d’autres arbres ? Le sirop d’érable peut-il affaiblir certaines bactéries et diminuer la résistance aux antibiotiques ? Quelles incroyables possibilités offre-t-il aux gourmets ? Avec la participation de spécialistes, le jeudi 25 février, 18 h, Agora Hydro-Québec du Pavillon Cœur des sciences de l’UQAM.

Apérofest : c’est à boire qu’il nous faut !

La dégustation ne s’arrête pas à ce que l’on mange, à MONTRÉAL EN LUMIÈRE ! La fête se passe aussi dans les verres, et ça tombe bien, Montréal s’impose de plus en plus comme une ville de cocktails et de production d’alcools locaux. Pour embrasser cette tendance, voici Apérofest, de tout nouveaux rendez-vous ludiques et allumés qui feront frétiller les papilles de multiples manières. Santé ! En collaboration avec Ateliers & Saveurs, Invasion Cocktail et Lab, Comptoir à Cocktails (programmation et renseignements : montrealenlumiere.com).

Paie ton âge ! — La semaine de relâche n’aura jamais eu si bon goût !

Jouer aux grands, les enfants adorent ça ! Alors, pourquoi ne pas leur faire plaisir en les invitant au resto pendant la semaine de relâche ? Avec cette formule originale — les enfants de 16 ans et moins paient le prix équivalant à leur âge —, les enfants se régaleront eux aussi tout en s’initiant à la gastronomie. Et attention, on ne parle pas du traditionnel menu enfants, mais bien d’un repas gourmet complet ! Alors, qu’on ait 6 ans (6 $) ou 16 ans (16 $), c’est toute une aubaine ! Du 29 février au 5 mars (liste des Bonnes Tables participantes :montrealenlumiere.com)

La Tablée des Chefs : de jeunes apprentis dans les cuisines de nos Bonnes Tables !

La Tablée des Chefs rassemble depuis 12 ans des chefs et cuisiniers qui contribuent à la lutte contre l’insécurité alimentaire. MONTRÉAL EN LUMIÈRE renouvelle son soutien à la cause et donnera la chance à de jeunes participants du programme Les Brigades Culinaires de l’organisme de vivre une expérience en cuisine avec nos chefs ! Pour connaître les restaurants participants et les soirées spéciales, il suffit de trouver le logo de la Tablée des Chefs dans le programme gastronomique.

Le Potluck : la gastronomie montréalaise en temps réel

Le blogue participatif PotluckMTL.com est de retour ! Il permet aux chefs, restaurateurs, festivaliers, blogueurs et journalistes de partager du contenu et d’échanger, aussi bien à propos du festival que de la gastronomie en général à Montréal. Lors des préparatifs de MONTRÉAL EN LUMIÈRE et pendant l’événement, Potluck permettra aussi aux chefs et restaurateurs de faire vivre aux festivaliers les coulisses de la préparation de leurs activités : photos, menu, recettes, etc. Mieux encore, Potluck se veut un blogue annuel ; on pourra donc y suivre l’actualité gastronomique (et y participer !) toute l’année, y publier opinions, découvertes et suggestions, se garder informé des dernières nouvelles et même connaître des changements de dernière minute dans tel ou tel resto participant. Bref, une plateforme rassembleuse et conviviale, tout comme le festival !

Réservations dès maintenant auprès des Bonnes Tables du festival

La cinquantaine de Bonnes Tables du festival nous attend avec des centaines d’activités gastronomiques et vinicoles pour tous les goûts et les budgets. Pour se dessiner un itinéraire gourmand dans notre programmation, il suffit de se rendre au montrealenlumiere.com (onglet Gastronomie). On peut réserver dès maintenant auprès des Bonnes Tables : Accords, Accords — Le Bistro, Alexandre et fils, Au Petit Extra, Bistro Beaver Hall, Bistro Laurentien La Coupole (Hôtel Le Crystal), Bistro Lustucru, Brasserie T! , Chez Chose, Chez l’Épicier, État-Major,Europea, EVOO, Flyjin, Graziella, H4C – Place St-Henri, Hambar, Helena, Hôtel Herman, Ikanos, La Chronique, La Fabrique, La Société Bistro (Hôtel Loews Le Vogue), Laloux, Laurie Raphaël Restaurant / Boutique, L’Autre Version, Le Balmoral, Le Local, Le Margaux, Le Montréal (Casino de Montréal), Le Mousso, Le Quartier Général, Le Restaurant de l’Institut (ITHQ), Le Richmond Griffintown, Le Saint-Gabriel (Auberge Saint-Gabriel), Le Valois, Les 400 coups, Les Cons Servent, Lili.Co, Maison Boulud (Hôtel Ritz Carlton), Mercuri, Pullman, Renoir (Sofitel Montréal le Carré Doré), Restaurant Christophe, Toqué!, Verses (Hôtel Nelligan) etVertige. Rappelons que les Bonnes Tables apprécient grandement que les festivaliers honorent leurs réservations.

Tout savoir sur MONTRÉAL EN LUMIÈRE

On peut se procurer le programme officiel gratuit de la programmation gastronomique et artistique dans toutes les succursales Renaud-Bray et SAQ du grand Montréal, les salles de spectacle participantes, les disquaires, les théâtres, les Bonnes Tables du festival, les centres infotouristes ainsi que dans de nombreux lieux culturels montréalais.

 

Source: Équipe Spectra

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