Galeries

Chile: L’Île de Pâques

L’île de Pâques est en effet la plus isolée de la planète, un point minuscule -118 kilomètres carrés seulement- à mi-chemin entre l’Océanie et l’Amérique du Sud. Le long de ce petit triangle de roches volcaniques, dont les pointes sont occupées par de gigantesques volcans éteints, s’étend une côte grise et déchiquetée, battue par une mer violente. L’île abrite une trentaine d’espèces de plantes, quelques oiseaux, quelques rats et des lézards, qui se disputent l’eau douce, très rare. Pourtant, plus de dix mille habitants ont vécu sur cette île, où ils ont construit un millier de ces hautes statues monstrueuses, les plus étranges du globe. source: sciencepresse

Elle fut visitée par le premier Européen, le navigateur néerlandais Jakob Roggeveen, le jour de Pâques, le 5 avril 1722, et comptait alors près de 4 000 habitants.

L’origine des différentes vagues de peuplement est controversée (il semblerait, d’après les analyses génétiques, qu’ils soient d’origine polynésienne) et il est acquis que la langue māori est austronésienne, avec toutefois des mots communs aux langues d’Amérique du Sud (par exemple « kumara », la patate douce). La date du début du peuplement de l’île par des Polynésiens n’est pas déterminée avec précision. Selon les partisans d’une chronologie longue, le peuplement initial daterait de 800, voire de 400, tandis que les partisans d’une chronologie courte, pensent que le peuplement est plus tardif et date de 1200. Des mesures au radiocarbone, effectuées dans les années 1950, avaient estimé la date du peuplement de l’île vers 400 (à +/- 80 ans). De nouvelles études  ont mis en évidence des pollutions sur les mesures effectuées, impliquant un vieillissement des résultats. Des mesures de radiocarbone publiées en 2006 ont mis en évidence des premières implantations beaucoup plus récentes, vers 1200.

Quoi qu’il en soit, les premiers colons polynésiens, sur de grandes pirogues à balancier ou bien sur des catamarans offrant plus de charge utile, seraient partis des îles Marquises (situées à plus de 3 200 km) ou bien des îles plus proches des Tuamotu (Mangareva, à  2 600 km) en passant par Pitcairn (située à 2 000 km). Une reconstitution, effectuée en 1999, à partir de Mangareva sur des embarcations polynésiennes a demandé 17 jours de navigation.

Les plus anciens moaïs ressemblent beaucoup aux tikis que l’on peut voir dans les îles de Polynésie (Hiva Oa des Marquises, Tahiti…), et une partie de la flore et de la faune de l’île est très semblable à celles des autres îles polynésiennes (par exemple la fougère Microlepia strigosa, le Sophora toromiro, le Hauhau Triumfetta semitrebula, le Mahute Broussonetia papyrifera ou le Ti Cordyline terminalis, les poulets, les rats).

Les premiers migrants avaient réussi à construire, à partir de ressources assez limitées, une société complexe et bien adaptée à son environnement. Toutefois, l’importance croissante du culte des ancêtres s’est traduite par l’érection de centaines de statues qui a fini par raréfier en quelques siècles les arbres de l’île. Dans les années 1500 à 1600, l’île connut une crise environnementale due peut-être à l’érosion des sols, peut-être à la sécheresse, mais qui en tout cas aboutit à une crise sociale, avec probablement des luttes tribales si l’on en croit les traditions orales, crise au terme de laquelle l’assise religieuse de la société pascuane changea. La construction des statues et des plateformes cérémonielles cessa, le culte de Make-make et de l’homme oiseau Tangata manu prit de l’importance. Les autochtones en étaient là lorsque les maladies apportées par des nouveaux venus (Européens) et les déportations (l’esclavage pratiqué par les Péruviens) réduisirent à 111 personnes leur population. Avec l’arrivée des planteurs et des missionnaires européens (initialement français) et de leurs ouvriers agricoles polynésiens (en majorité originaires de Rapa, et qui, se mêlant aux autochtones, formèrent le peuple Rapa-Nui), les habitants de l’île sont finalement devenus catholiques.

Lorsque les Européens sont arrivés dans l’île, ils ont décrit des rituels liées au culte de Make-make, dieu qui ressemble à un homme, avec une tête de sterne noir de l’île de Pâques nommé Manutara ou Mahoké. Une cérémonie annuelle avait lieu dans le sanctuaire d’Orongo à l’extrémité sud-ouest de l’île : les représentants des clans devaient sauter depuis une falaise en surplomb d’une dizaine de mètres et nager sur une sorte de planche composée de roseaux totora jusqu’à l’îlot Motu Nui, pour y arriver en même temps que les sternes venus nidifier. Là ils prenaient leurs quartiers dans différents secteurs de l’îlot et attendaient la ponte du premier œuf de Mahoké. Celui qui le trouvait et le rapportait intact à Orongo intronisait pour l’année le Tangata manu, « l’homme-oiseau » qui arbitrait la répartition des ressources entre les clans. Ce n’était pas une compétition mais un rituel religieux : c’est Make-make qui désignait lui-même le Tangata manu par le biais de la femelle sterne pondant la première, dans le secteur de tel ou tel clan, et c’est seulement si le nageur de ce clan ne parvenait pas à ramener intact l’œuf de Mahoké que le second, ou le troisième et ainsi de suite, ramenaient leurs œufs vers Orongo, mais la légitimité du Tangata manu était alors moindre, et ses décisions plus discutables.

source: Wikipedia

 

 

 

Mexique: Deux siècles de folklore

Les mariachis traditionnels d’aujourd´hui cherchent à conserver et promouvoir le folklore musical, qui a connu un fort déclin.

Imaginez la culture mexicaine sans les traditionnels mariachis, ces ensembles musicaux qui jouent des airs populaires dans la rue, ou lors des anniversaires, des mariages, des anniversaires de mariage, des remises de diplôme et même des funérailles, est presque impossible. La place Garibaldi, située dans la capitale du pays, est témoin chaque jour de ce goût des Mexicains pour les mariachis : des centaines d’amateurs nationaux et étrangers s’y pressent pour écouter des mélodies rancheras, des huapangos ou des boléros tout en sirotant une téquila. Mais les mariachis ne sont pas qu’un spectacle : ils sont un symbole national, une tradition qui remonte au début du XIXe siècle.

Il existe diverses théories sur l’origine des mariachis. Dans son Diccionario de mejicanismos (1959), Francisco Santamaría indique que le terme mariachi provient du français “mariage”. L’auteur renvoie à l’époque de l’Intervention Française au Mexique (1862-1867). Les Français remarquèrent alors que ces groupes musicaux égayaient les mariages. D’autres chercheurs affirment que le terme provient d’un mot de la langue autochtone coca, qui était parlée par un peuple du sud-ouest de Guadalajara. Des études ont montré que dans cette région, surtout dans le Nahuanchi, près de Cocula, il existait déjà avant l’intervention française une musique animée et joyeuse appelée mariachi.

Bien que l’on ne sache pas avec certitude d’où provient l’expression, il est cependant clair que cette musique résulte de la fusion de plusieurs styles musicaux qui ont évolué au cours du temps dans la partie occidentale du Mexique, en particulier dans les Etats de Jalisco, Colima, Nayarit et Michoacán.

Lire la suite: http://www.visitmexico.com/fr-ca/Mariachis-traditionnels
Source: Visit Mexico

Guadeloupe: Marie-Galante

Très préservée, tant sur le plan naturel que culturel, Marie-Galante ou « l’île aux cent moulins » séduit par son authenticité, ses plages préservées et sa quiétude. De forme très arrondie, Marie-Galante (appelée aussi « la grande galette ») est façonnée par l’exploitation de la canne à sucre et sa distillation (l’île fournit le meilleur et le rhum le plus fort de la Guadeloupe).

Composée de trois communes, Grand-Bourg, Capesterre et Saint-Louis, Marie-Galante a gardé le charme d’autrefois.  Il est encore possible de croiser les chars à boeufs (jadis unique moyen de transport) ou d’assister à un combat de coqs ou à l’une  des compétitions de boeufs-tirants. Ses plages de sable blanc dégagent un parfum de sérénité.

Chaque année, au mois de Juin (durant le week-end de la Pentecôte), Marie-Galante, accueille le Festival Terre de Blues, sans conteste le plus grand évènement musical de l’archipel.

Les spécialités locales sont le bébélé, plat traditionnel, à base de tripes et de banane verte et le chaudage, pot au feu marie-galantais.

 

Source: http://www.lesilesdeguadeloupe.com/

Aujourd’hui en Argentine: Ushuaïa (Terre de feu)

Je vous invite à visiter ce merveilleux site sur Ushuaïa. Il est vrai qu’il y a plusieurs site qui offrent ce genre d’information, cependant celui-ci a une touche spéciale qui va chercher le plus profond de cet endroit si mystérieux.

Un petit aperçu:

 

Extrait de l’article du site Les Bourlingueurs:

Nous voilà en Terre de Feu, avec du beau temps et une température de 15°, ce qui est étonnant à cette latitude située à 1.200 km de l’Antarctique. 

Depuis les voyages de Magellan, au XVIème siècle, les explorations du Fitz Roy et de Darwin au XIXèmesiècle, et de nos jours encore, cette « terre de l’extrême » n’a cessé de fasciner les voyageurs intrépides. Des plaines désolées du nord aux glaciers descendant presque jusqu’à l’océan, en passant par les forêts vierges de lenga, l’archipel semble être un appel constant à explorer ses mystères.

Lire l’article complet sur le site: Les Bourlingueurs

 

Les animaux du sud: La Chevêche des terriers

Une chouette aux longues pattes adaptées à la vie dans les prairies d’Amérique du Nord et du Sud. Elle habite les prairies de la Saskatchewan et de l’Alberta au Canada, où elle est menacée. Cependant, elle abonde dans le néotropis (l’Amérique du sud et centrale), où on la rencontre même en milieu urbain, typiquement dans les parcs où aux alentours des villes.

Cette chevêche possède un plumage gris-brun piqueté de blanc sur le dessus, rayé de blanc sur le ventre ; sa couleur lui permet de se dissimuler lorsqu’elle est sur le sol. Le mâle et la femelle sont semblables, mais les jeunes ont la gorge de couleur chamois-rouille. Sa tête ronde est proche de celle des hiboux, ses yeux et son bec sont jaunes. La chevêche des terriers est surtout caractérisée par la longueur de ses pattes en comparaison au corps ; la queue est, par contre, plutôt courte. Elle mesure environ 24 cm de la tête à la queue, pèse entre 125 et 175 grammes et peut vivre de 3 à 4 ans.

Carnivore, la chevêche des terriers se nourrit de sauterelles, de grillons, de coléoptères, de souris, ou encore d’oiseaux.

Source: Wikipedia

Une sensation Canado-Égyptienne

C’est dans le cadre de l’évènement Orientalys présenté par Loto-Québec les 10, 11 et 12 août prochains que Tabarak, chanteuse de musique arabe avec une voix captivante rendra hommage à Warda ou ”la rose algérienne”, qui a connu un grand succès grâce à des chansons telles que Harramt ahibbak, Wahashtouni ou Batwannes bik. Le spectacle de Tabarak aura lieu le 12 août à 21h30 sur la scène Loto-Québec au quai Jacques-Cartier du Vieux-Port.

 

Parmi les autres artistes qui seront présentés, vous trouverez IIhan Karabaçak, Irem Bekter, Le Jasmin Rouge, Nicolas Pellerin Oktopus et plusieurs autres.

Des animations, des prestations de danses orientales, indiennes, gigue et flamenco sont aussi programmés.

Une entrée libre et des activités pleines de chaleur vous attendent les 10, 11 et 12 août prochains. Soyez de la partie! Ne manquez pas cette touche arabe pleine de culture qui vous remplira de joie.

Visitez le site officiel: http://www.festivalarabe.com/main/

Coupe Rogers Montreal 2012

Ce n’est pas la pluie qui a freiné la foule pour participer à la journée familiale de la Coupe Rogers de Montréal ce dimanche, 5 août 2012. Les activités ont débutés à 9 heures. Il y avait des exposants tels que Uniprix, Lacoste, Nike, Adidas, Rogers, La Banque Nationale, Polo Ralph Lauren, Lindt, Iris et autres, qui offraient des petites gratuités, des échantillons et des jeux familiales.

 

Le tournoi se terminera le 13 août 2012 au stade Uniprix de Montréal.

Pour plus d’informations visitez le site officiel: Coupe Rogers (Rogers Cup)

 

Photos: Malena Paredes

 

 

25è anniversaire du Festival de montgolfières de Gatineau

Le Mouvement Desjardins et Loto-Québec, célèbrent le 25e anniversaire du Festival de montgolfières de Gatineau du 31 août au 3 septembre 2012, au parc de la Baie.

Des grandes vedettes telles que KC and the Sunshine band, Simple Plan, Isabelle Boulay et Éric Lapointe et autres invités spéciales seront présentés sur la Scène Loto-Québec.

Un festival plein de chaleur et de divertissement à ne pas manquer.

Pour plus d’information, veuillez visiter le site officiel: www.montgolfieresgatineau.com

 

Photo: infovelo.com

 

L’International des Feux Loto-Québec

Crédit photo: vizzion50.com

 

C’est avec fièrté que les pays tels que le Japon, la Suisse, le Canada, la Grèce, la France, le Portugal, l’Italie et les Étas-Unis, on démontrés leurs magnifiques lumières avec les fameux feux d’artifices annuels de Loto-Québec. Présentés par Telus depuis le mois de juin, les feux ont attirés des millions de personnes de patout dans le monde. C’est un évènement exemplaire de ce que Montréal a pour offrir à son peuple et à ses visiteurs.

Ne manquez surtout pas la grande finale qui aura lieu le vendredi 3 août 2012. Pour plus d’information veuillez visiter  le site officiel.