Archives de catégorie : What’s happening?

Zumba au Centre Musifit: Un des meilleurs endroits à Montréal

Le Centre Musifit à Saint-Léonard est sûrement le meilleur endroit pour vous réchauffer le corps et l’âme. C’est un centre qui a compris l’importance de la relation entre les dirigeants, les instructeurs et la clientèle.

Johanne Castelli, propriétaire et instructeur certifiée, est non seulement très motivée pour assurer les meilleurs résultats possibles, mais elle est aussi une des instructeurs la plus énergétique et chaleureuse que vous puissiez rencontrer. Aussi une bonne danseuse. Toutefois, elle n’est pas toute seule. Le Centre Musifit est bien comblé de plusieurs instructeurs aussi énergétiques, passionnés, motivés et formés pour vous donner le maximum de plaisir en direction de votre but.

 

Plusieurs choix de cours sont disponibles:

Zumba, Zumba Sentao, Muscle-Up, Energizzze, Musicycle, Impact et Hardcore.  

Pour plus de détails sur les cours visitez le site officiel : http://www.musifit.com/index.php

 
 

« Je suis une grande fan du Centre Musifit et je n’ai pas peur de vous le suggérer car je suis persuadé que vous ne serez pas déçu. » (D.Courage)

 

Le Centre Musifit

6995 Jarry E.
St.Leonard, Qc. H1P 3B5
Telephone: +1 514 268 0198
E-mail: info@musifit.com

Photo: Malena Paredes

 

 

Beach soccer 2012: festif et passionnant

Et oui, le tournoi a vu sa fin,
le party est fini,
le sable n’est plus…

Le Beach Soccer 2012, présenté à Montréal par Cadima Sport était une première et ne sera sûrement pas une dernière.

Pour ceux qui ne connaissent pas le Beach Soccer, voici une petite description :

Deux équipes de cinq joueurs (remplaçables à tout moment), sont mises aux prises, s’affrontant sur un terrain de 23×36 mètres pendant trois tiers-temps de 12 minutes, et ce, avec des pauses de seulement 3 minutes entre les périodes. Imaginez toute l’adrénaline d’un match de soccer de 90 minutes, concentrée en à peine 45 minutes… Un jeu spectaculaire; étant sur le sable, les chutes sont amorties et les joueurs peuvent réaliser des gestes acrobatiques fascinants. De la musique pour accompagner le tout, des jeux pour la famille et des bien sur de la boisson et des gourmandises. C’est un vrai Beach Soccer PARTY!

Les danseuses du Restaurant Le Milsa n’ont pas manqués leur coup pour réchauffer les sièges des spectateurs.

L’équipe de bénévole était très chaleureuse et sympathique.

Le président de l’évènement Francis Millien, le CEO George Papamikidis et le directeur technique Christian Prévost étaient eux aussi très présent avec la foule et les joueurs.

Avec M. Papamikidis pendant les préparatifs

En compagnie de  de Francis Millien et son père

En 2013, Montréal sera l’hôte de la première Coupe du monde féminine de beach soccer à huit équipes. Soyez attentif aux détails sur l’évènement. Vous pouvez aussi visiter leur site officiel: Beach Soccer Montréal

Et bien sur Planète Sud continuera de suivre le progrès cet évènement historique.

 

D.Courage

 

Crédits photos: Malena Paredes, photographe

 

Le tournoi continu… et le party!!!

 

De l’adrenaline à fond, du plaisir fou, des jeux pour tous, de la musique en tout temps, du soccer, du sable, des belles femmes, des beaux hommes, des hahaha!!!! Effectivement, le Beach Soccer est un incontournable. Demain, le 19 août, la FINALE! Si vous n’avez pas eu la chance d’y aller, ne manquez pas cette finale spectaculaire. Dès midi, les jeux commencent. Il y aura un match de gala entre des personnalités et l’équipe féminine SPVM, et les autres matchs détermineront les grands champions.

Les danceuses du restaurant brésilien Le Milsa

Le public est aussi invité à participer à des jeux très palpitants…

Site officiel: http://beachsoccermontreal.com/

10 plages à éviter

 

Côte-Ouest Australienne

Avec le record le plus élevé de mortalités dues aux attaques de requins, vous êtes mieux de rester éloigner si vous voulez garder vos membres. Le gouvernement portera une attention particulière sur ce problème.

Plage Chowpatty, Mumbai, Inde

Si l’air est pollué, que diriez-vous de cette plage? Les décombres sont tellement épais qu’il y a certains endroits ou le sable n’est pas visible. Vous y verrez surement des poubelles un peu partout flottant comme des algues. De plus, en août 2012, le cargo  MVRak a coulé sur la côte, laissant dériver jusqu’à la plage, son cargo de 60,000 tonnes métriques de charbon. C’est devenu une des plages les plus polluées du monde, toutefois, les citoyens locaux s’y baignent tous les mois de septembre durant le « Festival de Ganesh Chaturthi ».

Acapulco, Mexique

Auparavant une plage luxueuse, Acapulco est devenue un champ de bataille pour les vendeurs de drogue. Beaucoup d’enlèvement et de décapitions ont été reportés. En 2011, presque 900 meurtres ont eu lieu, faisant de cette ville (déjà connue en tant qu’une merveille), une des plus violentes dans le monde.

Plage Haina, République Dominicaine

La plage est proche d’un site utilisé pour recycler les batteries au  plomb et est donc contaminée de cette substance toxique. Un projet de nettoyage est en cours, toutefois, la plage est toujours considérée très dangereuse.

Plage Second, Port St. John, Afrique du Sud

Cette plage est fermée depuis la sixième mortalité due à une attaque de requin en 5 ans. Les requins sont connus sous le nom de « Zambezi » ou les « Pittbull » de la mer à cause de leur agressivité. Parmi le nombre élevé de plage en Afrique qui ont un dossier dans l’histoire des attaques de requin, celle de Port St-John est la seule dont toutes les attaques ont été mortelles.

Plages du comté de Volusia, Floride

Les requins attaquent pour juste pour goûter. Avec 242 attaques depuis 1882, et 6 en 2011, aucune ne fût mortelle. Le comté de Volusia s’étant de Daytona à New Smyrna. Faites attention si vous devez y aller.

 

Plages de Cape Tribulation, Nord de l’Australie

Pleines de serpents venimeux,  crocodiles voraces et de grands oiseaux coureurs « Cassoway », incapables de voler mais reconnus pour leur talent pour démembrer les humains, s’ils ont provoqués. De plus, ces plages sont envahies par des « box jelliefish » de novembre à mai. Celles-ci ont des tentacules qui peuvent atteindre jusqu’à 10 pieds. Une piqure de ces bêtes peut causer un arrêt cardiaque, une insuffisance pulmonaire ou même la mort et ce, en 5 minutes.

Plage Gilgo et environ, Long Island, N.Y.

Cette plage est le lieu d’ont tueur en série a adopté pour laisser ses victimes pourrir. Malheureusement, entre décembre 2010 et avril, mai 2011, 10 corps ont étés retrouvés dont un enfant. Les policiers n’ont toujours pas régler l’affaire. Seulement 4 des victimes ont étés identifiées.

Plage Hanakapiai, Kauai, Hawaii

En 40 ans, plus de 300 personnes se sont noyées, prises dans  des courants marins « rip currents ». Celles-ci pouvant atteindre jusqu’à 20 pieds, il est rare qu’un nageur ne se fasse pas prendre, même le meilleur.

Plages de Cameron Parish, Louisiane 

Les plages les plus contaminées des États-Unis en 2012. Le NRDC (une organisation pour l’environnement) a testé les eaux de 3,000 places différentes. Des maladies gastro-intestinales très graves sont probables chez ceux qui osent pénétrer ses eaux.

 

Source: http://travel.ca.msn.com/most-dangerous-beaches

Honduras: Liste d’hôtels à Roatan

Casa Romeo Hotel & Restaurant

Coral Beach Inn

Fantasy Island Beach Resort Dive & Marina

The Executive Inn

Palmetto Bay Plantation

Barefoot Cay

Coco View Resort

Anthony’s Key Resort

Bay Islands Beach Resort

Baan Suerte

Sunny Side

Blue Bahia Resort

Infinity Bay Spa & Beach Resort

Coconut Tree Cabins

Bananarama Diving Resort

Keifito’s Plantation Retreat

Las Rocas Resort

Foster’s Beach House

West Bay Lodge Roatan scuba dive beach hotel and cabin rental

Mayan Princess Beach Resort and Spa

Henry Morgan Beach Resort

Paradise Beach Club

Coco Lobo

Georphi’s Tropical Hideaway

Casa Calico

Turquoise Bay Resort [Milton Bight]

Blue Ocean Reef

Clarion Suites Roatan At Pineapple Villas 

Club Natale

Hotel Las Sirenas 

Las Rocas Resort & Dive Center

Paradise Hotels & Resorts 

Parrot Tree Beach Resort

Paya Bay Resort 

Splash Inn Dive Resort

Villa Delphin

 

Source: http://www.honduras.com/roatan-hotels/#.UCxSqKmGorh

 

 

Les 10 pires erreurs de camping

1. Ne pas tester votre nouvel équipement

2. Garder les articles de toilette dans la tente

 

3. Arriver à la nuit tombée

4. Sous-estimer la météo

5. Ne pas avoir de trousse de réparation

6. Lésiner sur l’alimentation

7. Oublier la trousse de premiers soins

8. Négliger son emplacement de camping

9. Arriver sans réservation

 

10. Ne voir que des obstacles

 

La règle d’or: planifiez et préparez!

 

Source:http://voyage.ca.msn.com/les-10-pires-erreurs-de-camping#image=1

 

Beach Soccer Montréal 2012

Imaginez soccer, sable, soleil, chaleur… en plein Montréal!

Pour la première fois à Montréal, il y aura un tournoi international de Beach soccer féminin et masculin. Présenté par Cadima Sport avec un comité organisateur très réputé (George Papamikidis, président de Cadima Sport, Francis Millien, président de l’évènement, Christian Prévost…), je doit dire que ce n’est pas un évènement à manquer et à sous-estimer.

L’événement se déroulera sur trois jours : le vendredi 17 août de 17 h à 23 h, le samedi 18 août de 15 h à 23 h et le dimanche 19 août de 11 h à 17 h 30.

Huit équipes sont attendues pour s’affronter devant des milliers de spectateurs. Quatre équipes féminines (Brésil, Canada, États-Unis et Mexique) et quatre équipes masculines (Brésil, Italie, Maroc et Mexique) se défouleront dans le sable pour atteindre la finale de dimanche.

Chaque match mettra aux prises deux équipes de cinq joueurs, remplaçables à tout moment, s’affrontant sur un terrain de 25 x 37 mètres pendant trois tiers-temps de 12 minutes.

« Le beach soccer a tout pour plaire! Ce sport, qui a vu le jour sur les plages de Copacabana, à Rio de Janeiro, a connu une progression considérable au cours des dernières années, un essor qui s’explique en grande partie par les valeurs festives et l’aspect spectaculaire qui y sont associés. Nous souhaitons faire vivre la fièvre du beach soccer aux Montréalais », affirme Francis Millien, président de l’événement.

Un spectacle qui vous rechauffera toutes les parties du corps. Ne manquez pas cet évènement historique.

L’équipe de Planète Sud (Danila Courage, directrice et Malena Paredes-Nicolich, photographe) étaient sur place pendant le montage du terrain. Il a fallu 800 tonnes métriques de sable pour recouvrir le terrain central du Stade Uniprix.

Ce sport étant très populaire, la FIFA organise tous les deux ans une Coupe du monde. Le comité organisateur de Beach Soccer Montréal 2012 entend donc faire de son événement un rendez-vous annuel incontournable dans le but avoué d’accueillir à Montréal en 2013 la première Coupe du monde féminine de Beach Soccer puis en 2017.

Quand la passion est la, tout est possible. C’est ce qu’a compris le comité organisateur de cet évènement.

Nous seront sur place pour capturer les meilleurs moments et bien sur… VOUS AUSSI!

 

Visitez le site officiel: beachsoccermontreal

Éducation: Brésil

Relations académiques et culturelles

Le Canada et le Brésil entretiennent d’importantes relations culturelles et universitaires, lesquelles se sont accrues au fil des ans.

  • Le Canada est aujourd’hui la première destination d’études de courte durée à l’étranger pour les Brésiliens.
  • Établie depuis 1991, l’Association brésilienne d’études canadiennes est très active. Elle compte 12 centres d’études canadiennes au Brésil et regroupe plus de 500 membres.
  • En 2011, près de 20 000 Brésiliens ont poursuivi des études au Canada.
  • Depuis 2007, 465 étudiants et professeurs brésiliens ont reçu une bourse d’études pour étudie ou mener des recherches dans les universités canadiennes.

Des universitaires de partout au Canada et au Brésil participent fréquemment à des projets d’échange et de coopération dans le cadre de programmes financés par les gouvernements des deux pays. De plus, cinq universités canadiennes, soit l’Université York, l’Université Western Ontario, l’Université du Québec à Montréal, l’Université St. Mary’s et l’Université de Calgary, participent à un effort conjoint visant à promouvoir l’étude du Brésil au Canada et ont établi une Chaire itinérante d’études brésiliennes. Créé en 2003, ce programme a permis de faire venir des Brésiliens importants aux universités et réunions au Canada, y compris pour une conférence de biocarburants en 2008. Le programme vise à influencer les politiques et l’orientation des recherches, construire le développement institutionnel et renforcer notre relation bilatérale.

Le gouvernement du Canada favorise ces échanges interpersonnels importants en raison de leur apport à l’enrichissement des relations entre le Canada et le Brésil. En complément de l’Accord de coopération en matière de science et de technologie, le 30 août 2010, le Canada et le Brésil ont signé un Protocole d’entente sur la mobilité universitaire et la coopération scientifique pour favoriser l’innovation dans les deux pays en appuyant des projets conjoints de recherche.

Source: canadainternational.gc.ca

 

Chile: L’Île de Pâques

L’île de Pâques est en effet la plus isolée de la planète, un point minuscule -118 kilomètres carrés seulement- à mi-chemin entre l’Océanie et l’Amérique du Sud. Le long de ce petit triangle de roches volcaniques, dont les pointes sont occupées par de gigantesques volcans éteints, s’étend une côte grise et déchiquetée, battue par une mer violente. L’île abrite une trentaine d’espèces de plantes, quelques oiseaux, quelques rats et des lézards, qui se disputent l’eau douce, très rare. Pourtant, plus de dix mille habitants ont vécu sur cette île, où ils ont construit un millier de ces hautes statues monstrueuses, les plus étranges du globe. source: sciencepresse

Elle fut visitée par le premier Européen, le navigateur néerlandais Jakob Roggeveen, le jour de Pâques, le 5 avril 1722, et comptait alors près de 4 000 habitants.

L’origine des différentes vagues de peuplement est controversée (il semblerait, d’après les analyses génétiques, qu’ils soient d’origine polynésienne) et il est acquis que la langue māori est austronésienne, avec toutefois des mots communs aux langues d’Amérique du Sud (par exemple « kumara », la patate douce). La date du début du peuplement de l’île par des Polynésiens n’est pas déterminée avec précision. Selon les partisans d’une chronologie longue, le peuplement initial daterait de 800, voire de 400, tandis que les partisans d’une chronologie courte, pensent que le peuplement est plus tardif et date de 1200. Des mesures au radiocarbone, effectuées dans les années 1950, avaient estimé la date du peuplement de l’île vers 400 (à +/- 80 ans). De nouvelles études  ont mis en évidence des pollutions sur les mesures effectuées, impliquant un vieillissement des résultats. Des mesures de radiocarbone publiées en 2006 ont mis en évidence des premières implantations beaucoup plus récentes, vers 1200.

Quoi qu’il en soit, les premiers colons polynésiens, sur de grandes pirogues à balancier ou bien sur des catamarans offrant plus de charge utile, seraient partis des îles Marquises (situées à plus de 3 200 km) ou bien des îles plus proches des Tuamotu (Mangareva, à  2 600 km) en passant par Pitcairn (située à 2 000 km). Une reconstitution, effectuée en 1999, à partir de Mangareva sur des embarcations polynésiennes a demandé 17 jours de navigation.

Les plus anciens moaïs ressemblent beaucoup aux tikis que l’on peut voir dans les îles de Polynésie (Hiva Oa des Marquises, Tahiti…), et une partie de la flore et de la faune de l’île est très semblable à celles des autres îles polynésiennes (par exemple la fougère Microlepia strigosa, le Sophora toromiro, le Hauhau Triumfetta semitrebula, le Mahute Broussonetia papyrifera ou le Ti Cordyline terminalis, les poulets, les rats).

Les premiers migrants avaient réussi à construire, à partir de ressources assez limitées, une société complexe et bien adaptée à son environnement. Toutefois, l’importance croissante du culte des ancêtres s’est traduite par l’érection de centaines de statues qui a fini par raréfier en quelques siècles les arbres de l’île. Dans les années 1500 à 1600, l’île connut une crise environnementale due peut-être à l’érosion des sols, peut-être à la sécheresse, mais qui en tout cas aboutit à une crise sociale, avec probablement des luttes tribales si l’on en croit les traditions orales, crise au terme de laquelle l’assise religieuse de la société pascuane changea. La construction des statues et des plateformes cérémonielles cessa, le culte de Make-make et de l’homme oiseau Tangata manu prit de l’importance. Les autochtones en étaient là lorsque les maladies apportées par des nouveaux venus (Européens) et les déportations (l’esclavage pratiqué par les Péruviens) réduisirent à 111 personnes leur population. Avec l’arrivée des planteurs et des missionnaires européens (initialement français) et de leurs ouvriers agricoles polynésiens (en majorité originaires de Rapa, et qui, se mêlant aux autochtones, formèrent le peuple Rapa-Nui), les habitants de l’île sont finalement devenus catholiques.

Lorsque les Européens sont arrivés dans l’île, ils ont décrit des rituels liées au culte de Make-make, dieu qui ressemble à un homme, avec une tête de sterne noir de l’île de Pâques nommé Manutara ou Mahoké. Une cérémonie annuelle avait lieu dans le sanctuaire d’Orongo à l’extrémité sud-ouest de l’île : les représentants des clans devaient sauter depuis une falaise en surplomb d’une dizaine de mètres et nager sur une sorte de planche composée de roseaux totora jusqu’à l’îlot Motu Nui, pour y arriver en même temps que les sternes venus nidifier. Là ils prenaient leurs quartiers dans différents secteurs de l’îlot et attendaient la ponte du premier œuf de Mahoké. Celui qui le trouvait et le rapportait intact à Orongo intronisait pour l’année le Tangata manu, « l’homme-oiseau » qui arbitrait la répartition des ressources entre les clans. Ce n’était pas une compétition mais un rituel religieux : c’est Make-make qui désignait lui-même le Tangata manu par le biais de la femelle sterne pondant la première, dans le secteur de tel ou tel clan, et c’est seulement si le nageur de ce clan ne parvenait pas à ramener intact l’œuf de Mahoké que le second, ou le troisième et ainsi de suite, ramenaient leurs œufs vers Orongo, mais la légitimité du Tangata manu était alors moindre, et ses décisions plus discutables.

source: Wikipedia