Archives de catégorie : Diverstissement

Journée des musées de Montréal

La Société des directeurs des musées montréalais invite la population à sa 27e Journée «portes-ouvertes » des musées, à la promenade des Artistes du Quartier des spectacles, le dimanche 26 mai 2013.

Présentée par Québecor, en collaboration avec la STM, la Société des directeurs des musées montréalais (SDMM) organise la Journée des musées montréalais depuis 1987, à tous les derniers dimanches du mois de mai. Cet événement « portes ouvertes », très populaire, est unique en Amérique du Nord. Le but avoué de cette initiative est de faire connaître les musées de Montréal et de susciter un réel attachement de la population pour ces derniers. C’est un moyen pour les musées de se rapprocher davantage de la communauté et ce, dans un souci de démocratisation de la culture et du savoir.

Événement phare de la SDMM, la Journée des musées montréalais est un rendez-vous annuel incontournable pour des milliers de Montréalaises, de Montréalais, de même que pour les touristes de passage dans la métropole. 34 musées membres de la SDMM participent cette année à cette fabuleuse journée.

Dimanche, le 26 mai 2013

Source: www.museesmontreal.org

Le Salon International du Design de Montréal

Du 23 au 26 mai 2013 à la Place Bonaventure.

Une nouvelle porte-parole pour la 25e édition, Virginie Coossa.

Plus de 300 exposants, des nombreuses activités et attractions telles que réceptions, manifestations artistiques, concours et 5 à 7 seront autant d’occasions pour les professionnels, les gens d’affaires et les consommateurs de s’informer, s’inspirer ou encore s’adresser directement à des experts. Du nouveau en 2013 ? Le Salon prolonge le plaisir des amateurs de design en ouvrant ses portes une journée de plus, soit le dimanche suivant l’horaire régulier.

 

Source: http://www.sidim.com/fr/visiteurs.html

 

 

Le dernier album de Pier Béland: Ce que je suis

Aujourd’hui, le 17 avril, 2013, Pier Béland a renoué un recueil de 11 chansons intitulée Ce que je suis.

Pour ces retrouvailles musicales, Pier Béland a renoué avec des chansons populaires romantiques aux accents country, en compagnie du réalisateur Jeff Grenier (David Jalbert, Hugo Lapointe, Vilain Pingouin, Bruno Labrie). Avec des titres tels Ce que je suis, J’ai perdu l’Envi de t’aimer, Nous deux et Le dernier rendez-vous, Pier Béland reprend son thème de prédilection: l’amour au quotidien.

Pier Béland a débuté sa carrière dans le milieu des cabarets avant de connaître ses heures de gloire durant les années 80. Sans toi, Lucky Star et Moi sans toi sont quelques-uns des ses titres les plus appréciées.

Le tournant du siècle dernier a par ailleurs représenté une période charnière dans la carrière de Pier Béland. Après avoir lancé des albums durant 10 années consécutives et donné quantité de spectacles partout en province ainsi qu’en Floride, elle obtient finalement la reconnaissance du milieu artistique. En 1999, 2000 et 2001, elle reçoit des nominations dans la catégorie « meilleur disque de l’Année – country » au prestigieux gala de l’ADISQ.

Plus récemment, elle a écrit plusieurs titres pour divers artistes dont Maudit Bordel, le succès de Marie-Chantal Toupin qu’elle a signé sous le pseudonyme de Catherine Deunon.

Pier Béland nous a malheureusement quitté ces derniers jours, foudroyée par un cancer généralisé qu’elle a combattu courageusement jusqu’à son dernier souffle. Mais avec Ce que je suis, Pier Béland, sensible et vraie, légue à ses fans des chansons imprégnées des valeurs et qualités qui ont marqué son parcours professionnel sur plus de 40 ans.

Source: Annexe Communication

 

Le lancement était un grand succès

Parmi une liste d’invités très spéciaux que Pier Béland avait elle-même préparé avant son décès, se trouvaient ses dernières volontés soit les interprétations d’Étienne Cousineau (un candidat de «La Voix») avec Ave Maria, suivi de Paul Daraîche avec la pièce À ma mère et Marie-Chantal Toupin qui a interprété Maudit Bordel.

Un discourt émouvant et une foule mouvementée, voivi un aperçu:

photos: Malena Paredes, photographe

IAM aux Francofolies!

Un des rares « VRAIS » dans le milieu de hip hop. Le groupe IAM fait partie de ceux qui ont rendu possible le terme « rap français ».

Leur premier double CD « Ombre est lumière » contient des titres personnels tel que « Une femme seule », d’ou on peut voir que le hip hop ne se tient pas qu’à rouler des mécaniques mais peux aussi atteindre le coeur.

Leur succès continua avec un autre album intitulé « l’école du micro d’argent » avec plus d’un milion d’exemplaires de vendus et qui contient peut-être leur meilleur morceau « Demain c’est loin ».

IAM a fait le tour du monde. Pendant plus de 20 ans, le groupe s’est présenté en France, Suisse, Allemagne, Belgique, Espagne, Maroc, Tunisie, Canada (incluant Québec) et Égypte.

IAM sera encore une fois au Canada et cette fois, se sera dans le contexte des Francofolies de Montréal 2013.

Ne manquez pas cette sensation Marseillaise qui vous fera vivre une expérience de son et couleurs hors du commun.

 

Source: L’Équipe Spectra

 

La tournée solo de Coeur de pirate

Après avoir fait salle comble en Europe, aux États-Unis et au Canada avec ses musiciens, après avoir gagné les Félix du meilleur album pop pour Blonde et de l’interprète féminine de l’année 2012, Coeur de pirate prépare un retour sur scène plus intime, en 2013. Avec sa nouvelle tournée, Béatrice Martin fait redécouvrir son répertoire dans sa plus simple expression : une voix, un piano. Une première pour l’artiste qui se lance dans un spectacle solo qui ramène aux racines, à la fragilité et à la douceur qui sont à l’origine de Coeur de pirate.

Vous pourrez la voir aux Francofolies de Montréal 2013

 

Source: L’Équipe Spectra

Albin de la Simone «Un homme »

Il ne faut pas croire un mot de ce que Albin de la Simone raconte dans ses chansons. Quand il chante que ses épaules ne sont pas « bien carrées, pas bien gaulées, pas baraquées, pas balèzes », c’est entièrement faux : ce garçon est un contorsionniste de la chanson française, à même de réunir sur le même album le pianiste Alexandre Tharaud, la guitare barbue de JP Nataf comme la fée islandaise Emilíana Torrini, ou d’évoquer tour à tour, dans un savant mélange de fiction et de vécu, un aménagement, un enterrement, un mariage, un amour éteint et un endormissement, sans trop en dire, en restant flou, à l’image du portrait qui figure sur la pochette du disque.

Faut-il en déduire que Albin de la Simone est un menteur ? C’est toute l’ambiguïté du personnage. Même quand il se glisse dans la peau d’un autre (comme « un coupeur de bois l’hiver en forêt » dans Un homme), c’est avec la même authenticité, la même sensibilité, la même proximité. Cet auteur-compositeur-interprète n’est pas à un paradoxe près : si, d’album en album, sa langue s’est épurée (une direction particulièrement encouragée par ses dates en solo, qui ont remis le texte au premier plan, en même temps que la voix, nue jusqu’à ne plus être amplifiée), c’est la première fois qu’il opte pour des arrangements aussi élaborés, avec notamment quatre morceaux drapés de cordes, en contraste avec son précédent album Bungalow pour lequel il avait pris le parti d’habiller ses chansons d’arrangements plus synthétiques.

Pour son quatrième album (mais premier pour Tôt ou tard, une suite logique, quand on se rend compte qu’il a participé à tant de disques du label), Albin de la Simone a bouleversé sa façon d’écrire. Plutôt que de s’isoler du monde (Bungalow était le résultat d’un séjour d’un mois à Bali), Un homme est le résultat d’un travail continu où l’écriture s’est intégrée dans sa vie quotidienne. Une profonde remise en question lors de laquelle l’artiste a écrit une chanson par jour pendant 3 mois, jusqu’à trouver sa place entre pop et chanson. Pour la première fois également, beaucoup de chansons sont nées sur scène, lors des nombreux concerts que l’artiste a pu donner, notamment dans le cadre privilégié du Centquatre, établissement artistique dont il a été résident pendant deux ans.

Les bases de l’enregistrement ont été posées au studio La Fabrique, à Saint-Rémy de Provence, en compagnie de JP Nataf (guitare), de Raphaël Chassin (batterie et percussions) et l’ingénieur du son et réalisateur Dominique Ledudal. L’ensemble Contraste, qui avait invité Albin sur une relecture d’une chansons des Demoiselles de Rochefort, est venu poser ses cordes au studio Davout, à Paris. Les voix, certainement l’élément sur lequel le réalisateur s’est montré le plus intraitable, ont été réalisées au studio Garage, également à Paris. Elles ne semblent jamais avoir été aussi limpides.

En 2005, dans une chanson qui est devenue un classique de scène, Albin chantait : « Tu vois j’ai changé, j’ai changé, j’ai changé, je peux changer ». En 2013, Albin continue à changer : au-delà des étiquettes et des modes, il confirme sa position d’artisan, remettant régulièrement sur le métier son ouvrage, s’interrogeant plus particulièrement ici sur son rapport à la masculinité et la virilité. Sans pour autant renier l’essentiel : une chanson peut aussi bien se parer de ses plus beaux atours (Moi moi, La première femme de ma vie) que se présenter sous le plus simple appareil, comme c’est le cas de La fuite. Ce qui fait la différence, c’est « un grain de poivre, ce tout petit pépin piquant et doux » dont il est question dans un des titres de son nouvel album. Et c’est ce petit grain-là qui confère à ses disques un goût absolument unique.

Philippe Dumez

 

Source: L’Équipe Spectra

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