Tous les articles par Danila Courage

Un Québec actif avec Kino-Québec

 C’est en 1978 que le gouvernement du Québec lançait officiellement le programme Kino-Québec avec la campagne « Viens jouer dehors ». Ce programme est aujourd’hui géré conjointement par le ministère de l’Éducation, du Loisir et du Sport, le ministère de la Santé et des Services sociaux et les agences de la santé et des services sociaux. Doté d’une coordination nationale, Kino-Québec est présent dans l’ensemble des régions du Québec et peut compter sur un réseau régional de 35 conseillers.

La mission du programme Kino-Québec consiste à Promouvoir un mode de vie physiquement actif pour contribuer au mieux-être de la population québécoise.

Visitez le site officiel, il est très intéressant: Kino-Québec

 

Source: http://www.kino-quebec.qc.ca/index.asp via le site du Gouvernement du Québec.

Haïti, l’île paradisiaque: la muse de sa diaspora sollicitée

À travers un concours, dédié aux Haïtiens disséminés à travers la planète, Haïti trouve une façon assez originale pour pousser sa diaspora à participer dans ses efforts visant à « changer l’image » du pays. L’initiative est signée Stéphanie Villedrouin, la titulaire du ministère haïtien du Tourisme. Lire la suite: www.mediamosaique.com

 

Un petit goût du Brésil à Montréal

Voici une liste de restaurants qui vous donneront un avant-goût de la gastronomie brésilienne sans aller trop loin…

(Montréal centre-ville)

1445, rue Bishop

Montréal, H3G 2E4

métro   Guy-Concordia

(Laval)

579, boul. St-Martin O

Laval, H7M 1Y9

(Rive-sud)

7845, boul. Taschereau

Brossard,  J4Y 1A4

(Montréal-Ouest)

5021, boul Des Sources

Dollard-des-Ormeaux, H8Y 3E3

(Le Village/Centre Sud)

1560, rue Ste-Catherine E

Montréal, H2L 2H9

métro   Beaudry

(Rive-nord-Laurentides)

300, rue Sicard

Sainte-Thérèse, J7E 3X4

 

9422, boul. de l’Acadie

Ahuntsic-Cartierville

Montréal, H4N 1L7

métro   Acadie

Rodízio

160, rue Notre-Dame E (coin St-Vincent)

Montréal, QC, H2Y 1C2

métro  Place-d’Armes

(514) 508-3883

Acajou Br

5121, boul. St-Laurent (coin Laurier E)

Montréal, QC, H2T 2L9   Laurier

 Bayou Brésil

4552, rue Saint-Denis (coin Mont Royal)

Montréal, QC, H2J 2L3   Mont-Royal

Au Salon: Les Îles de la Madeleine

La Grave célèbre sa culture maritime lors des Fêtes de la mer et des marins. Venez assister et participer à trois jours d’activités et de célébrations nautiques sur le Site historique de La Grave à Havre-Aubert.

Passionnés de la mer, montez à bord !

 

Site historique de La Grave
Havre-Aubert,
(Québec, Canada)
Courriel : jcharest@ilesdelamadeleine.ca
Site web : http://www.lagravesitehistorique.com

 

Source: www.tourismeilesdelamadeleine.com

Brésil: Défiler à Rio

Un reportage sur le défiler à Rio effectué par Justin Janvier. Il donne des conseils pour participer pleinement à cette festivité. 

 

La chasse à la fantasia

Le sésame pour le carnaval, c’est la « fantasia », un des nombreux costumes imaginés chaque année par les écoles de samba en fonction du thème de leur défilé. Chaque modèle est généralement fabriqué à hauteur de cent ou deux cents exemplaires. Une partie est destinée aux habitants de la « communauté » de l’école qui assistent aux répétitions depuis le mois d’août. Le reste est vendu à qui le souhaite, jusqu’à épuisement du stock : certaines fantasias étaient encore disponibles dans les jours ultimes.
Pirates, princes du désert, faune variée… les costumes les plus épiques sont proposés cette année. Pour ma part, j’ai plus modestement opté pour la « feijoada » – du nom d’un plat national à base de porc et de haricots noirs – de l’école Unidos da Tijuca, qui glorifiait cette année 2003 les liens entre Brésil et Afrique. L’ambiance dans les petites écoles est réputée plus libérale que chez les favorites où la pression est très forte. Car les écoles de samba sont en compétition les unes avec les autres, départagées par un jury.

« L’esprit de carnaval »

Une fois le choix de la fantasia effectué, il est hautement recommandé de participer à quelques répétitions de son école. Les « ensaios técnicos » sont des répétitions grandeur nature dans la rue, sans chars ni costumes. Sous les yeux de centaines de passants, des danseurs de tous âges virevoltent, fortement soutenus par l’ensemble de percussions – la « bateria ». Chaque école organise par ailleurs des « noites de samba » (nuits de samba), en général le samedi : jusqu’à l’aube, des milliers de danseurs exécutent des sambas endiablées, toujours au son de la bateria, dans un grand local appartenant à l’école (la « quadra »). Une petite participation est demandée à l’entrée (généralement entre 3 à 6 €). Les Cariocas se rendent en nombre à ces fêtes phénoménales.
De fait, les répétitions des écoles de samba valent le détour même pour ceux qui ne participent pas au défilé ; c’est sans doute un des meilleurs moyens de tutoyer le fameux esprit de carnaval brésilien. Elles permettent en outre de se familiariser avec le « samba de enredo » de l’écolel’hymne qui sera chanté par tous les danseurs lors du carnaval : pour qui souhaite défiler, il est conseillé d’en connaître au moins les refrains.

La concentration

Les dernières répétitions achevées, le carnaval peut commencer. Les défilés ont lieu au « sambodromo », une piste de 650 m entourée de gradins située dans la zone nord de la ville. Sept écoles défilent quotidiennement, de 21 h à l’aube. Pour ce qui me concerne, ce sera dans la nuit du lundi au mardi, vers minuit trente, avec un rassemblement à partir de 22 h. Les alentours du sambodromo donnent le ton : des centaines d’échoppes proposent bières ou souvenirs au chaland sur des fonds musicaux divers. Des milliers de personnes circulent, dans une composition surréaliste de couleurs ; difficile de me frayer un passage revêtu de ma volumineuse fantasia ! Sur la piste d’accès au sambodromo, c’est pour l’instant l’école de Mangueira, championne en titre, qui se prépare : une bonne occasion pour en admirer tranquillement costumes et chars. Un peu plus loin, de nombreuses têtes de porc (délicat couvre-chef de ma fantasia) signalent mon arrivée à bon…port. On discute, on boit une bière, l’ambiance est détendue. Bientôt, l’école de Mangueira entre dans le sambodromo, laissant la voie libre à Unidos da Tijuca.

Et soudain, le sambodromo…

Regroupés par fantasia, nous prenons possession de la piste d’accès. Les « harmonias » (coordinateurs) de l’école essaient tant bien que mal de nous aligner. Commence la seule partie un peu pénible de l’aventure : une attente de plus d’une heure debout, sans pouvoir bouger. Une à une, les danseuses montent sur les chars et se préparent. Finalement, les harmonias passent entre nous en chantant notre samba, bientôt repris par tous. Le cortège s’ébranle, les cœurs battent, même si nous sommes encore loin du sambodromo. Un feu d’artifice annonce notre entrée au moment où la sono crache le samba de enredo de Unidos da Tijuca. Nous ne sommes plus qu’à quelques dizaines de mètres de la piste de défilé, tous les participants chantent et dansent déjà à en perdre la tête. Un dernier virage… c’est l’entrée dans le sambodromo ; chaque danseur profite de cet instant magique sous les yeux de quelque 90 000 spectateurs.

Passent peu à peu les gradins, les loges des jurys et trop vite se profile la grande arche, terme du défilé. Pendant une heure et demie, nous avons dansé et chanté sur la même chanson, sans aucune lassitude. Impossible d’assister au spectacle des autres écoles à moins de disposer d’un billet. Mais les stands entourant le sambodromo proposent boissons et nourriture pour se remettre de ses émotions.
Les résultats sont annoncés le mercredi des Cendres. Unidos da Tijuca termine neuvième sur quatorze. Je ne me suis rendu compte de rien, mais nous avons subi différents contre-temps : un char a cassé avant même son entrée en lice, une danseuse a fait une chute de plusieurs mètres, notre reine a dû défiler pieds nus… Nous ne faisons donc pas partie des cinq meilleures écoles, appelées à défiler de nouveau le samedi suivant. Qu’importe, les souvenirs sont gravés.
Les touristes dénaturent-ils le carnaval ? La polémique enfle à Rio : certains condamnent la présence de personnes qui ne savent pas danser la samba et ne connaissent même pas le samba de enredo de leur école. D’autres considèrent que cela fait vivre le carnaval. Sur place, l’ambiance est garantie et l’accueil excellent : essayez simplement de respecter l’énorme travail que représente ce défilé en assistant à quelques répétitions… Le reste suivra tout seul !

Carnaval pratique

Les écoles de samba sont divisées en deux groupes : le « grupo especial », l’élite, appelée à défiler les dimanche et lundi, et le « grupo de acesso », sorte de deuxième division du carnaval, qui défile le samedi. Les écoles du grupo especial disposent généralement d’un site internet très complet (voir plus bas), proposant les photos des fantasias et les coordonnées des fabricants, les dates et lieux des répétitions et du défilé, le texte et la musique du samba de enredo. Au moment du carnaval, les journaux diffusent également ces informations.

Achat de fantasias
Le prix d’une fantasia varie entre 50 à 150 € environ, une somme très conséquente pour la plupart des Brésiliens. Les fabriques – artisanales – se situent souvent dans des zones déconseillées aux touristes. Il est possible de se faire livrer moyennant une transaction bancaire simple et une petite commission supplémentaire. Les personnes désirant défiler ensemble doivent choisir la même fantasia.

Se rendre au sambodromo
Il est évidemment recommandé de se rendre au sambodromo sans objets de valeur et avec le strict argent nécessaire. Outre le jour et l’heure du défilé de son école, il est crucial de connaître son lieu de rassemblement : la « concentraçao »a lieu selon les cas derrière les gradins pairs ou impairs du sambodromo et il est impossible de traverser ! Tout le monde se rend sur place déjà revêtu de sa fantasia. Préférez le métro ou le taxi au bus. Pour le métro, descendez à la station « Central » ou « Praza 11 », selon le lieu de la concentraçao.

 

Source: http://www.routard.com/mag_reportage/43/defiler_a_rio.htm

Zumba au Centre Musifit: Un des meilleurs endroits à Montréal

Le Centre Musifit à Saint-Léonard est sûrement le meilleur endroit pour vous réchauffer le corps et l’âme. C’est un centre qui a compris l’importance de la relation entre les dirigeants, les instructeurs et la clientèle.

Johanne Castelli, propriétaire et instructeur certifiée, est non seulement très motivée pour assurer les meilleurs résultats possibles, mais elle est aussi une des instructeurs la plus énergétique et chaleureuse que vous puissiez rencontrer. Aussi une bonne danseuse. Toutefois, elle n’est pas toute seule. Le Centre Musifit est bien comblé de plusieurs instructeurs aussi énergétiques, passionnés, motivés et formés pour vous donner le maximum de plaisir en direction de votre but.

 

Plusieurs choix de cours sont disponibles:

Zumba, Zumba Sentao, Muscle-Up, Energizzze, Musicycle, Impact et Hardcore.  

Pour plus de détails sur les cours visitez le site officiel : http://www.musifit.com/index.php

 
 

« Je suis une grande fan du Centre Musifit et je n’ai pas peur de vous le suggérer car je suis persuadé que vous ne serez pas déçu. » (D.Courage)

 

Le Centre Musifit

6995 Jarry E.
St.Leonard, Qc. H1P 3B5
Telephone: +1 514 268 0198
E-mail: info@musifit.com

Photo: Malena Paredes

 

 

Beach soccer 2012: festif et passionnant

Et oui, le tournoi a vu sa fin,
le party est fini,
le sable n’est plus…

Le Beach Soccer 2012, présenté à Montréal par Cadima Sport était une première et ne sera sûrement pas une dernière.

Pour ceux qui ne connaissent pas le Beach Soccer, voici une petite description :

Deux équipes de cinq joueurs (remplaçables à tout moment), sont mises aux prises, s’affrontant sur un terrain de 23×36 mètres pendant trois tiers-temps de 12 minutes, et ce, avec des pauses de seulement 3 minutes entre les périodes. Imaginez toute l’adrénaline d’un match de soccer de 90 minutes, concentrée en à peine 45 minutes… Un jeu spectaculaire; étant sur le sable, les chutes sont amorties et les joueurs peuvent réaliser des gestes acrobatiques fascinants. De la musique pour accompagner le tout, des jeux pour la famille et des bien sur de la boisson et des gourmandises. C’est un vrai Beach Soccer PARTY!

Les danseuses du Restaurant Le Milsa n’ont pas manqués leur coup pour réchauffer les sièges des spectateurs.

L’équipe de bénévole était très chaleureuse et sympathique.

Le président de l’évènement Francis Millien, le CEO George Papamikidis et le directeur technique Christian Prévost étaient eux aussi très présent avec la foule et les joueurs.

Avec M. Papamikidis pendant les préparatifs

En compagnie de  de Francis Millien et son père

En 2013, Montréal sera l’hôte de la première Coupe du monde féminine de beach soccer à huit équipes. Soyez attentif aux détails sur l’évènement. Vous pouvez aussi visiter leur site officiel: Beach Soccer Montréal

Et bien sur Planète Sud continuera de suivre le progrès cet évènement historique.

 

D.Courage

 

Crédits photos: Malena Paredes, photographe

 

Les animaux du sud: Crevette nettoyeuse

 

La crevette nettoyeuse Stenopus hispidus, est une crevette de petite taille, à peine une dizaine de centimètres de longueur. Elle se caractérise par son corps et ses grandes pinces recouvertes de larges bandes rouges et blanches. Elle dispose de 2 paires de longues antennes de couleur blanche.

 

Répartition Géographique

 

La crevette nettoyeuse se rencontre principalement dans la mer des Caraïbes mais elle est également présente dans les eaux tropicales de l’océan Indien et l’océan Pacifique.

 

Habitat

 

La crevette nettoyeuse, Stenopus hispidus, se rencontre de la surface jusqu’à une quinzaine de mètres de profondeur. Elle fréquente les nombreuses anfractuosités que recèlent les récifs coralliens.

 

Alimentation

 

La crevette nettoyeuse se nourrit principalement de parasites véhiculés par les poissons mais également de petits crustacés.

 

Reproduction

 

La femelle est plus grosse que le mâle et il n’est pas rare de rencontrer au détour d’une anfractuosité un couple blotti à l’intérieur dans le haut avec la tête en bas. La femelle dont le cycle de ponte est régie par ses mues, porte ses œufs pendant environ 6 semaines jusqu’à éclosion pour donner naissance à de petites larves qui se développeront en pleine eau.

 

Le Saviez-Vous?

 

La crevette nettoyeuse passe sa journée à l’attente du poisson en quête d’une petite toilette.

 

Souvent en groupe avec ces congénères ou en compagnie d’autres crevettes nettoyeuses, elles forment de véritables « stations de nettoyage » à la disposition des poissons qui ne manquent pas de fréquenter les lieux.

 

 

Source:http://www.auxbulles.com/decouverte-biologie-crevette_nettoyeuse_stenopus_hispidus.html