Annulation d’activité

Le Festival de Lanaudière annule son concert du 28 juillet

Le Festival de Lanaudière a le regret d’annoncer l’annulation de son concert du 28 juillet à l’église de la Purification de Repentigny. Pour des raisons de santé, la violoniste Jennifer Koh ne sera pas en mesure d’offrir sa prestation telle que prévue au programme.

Les personnes qui avaient déjà fait l’acquisition de billets pour ce concert seront contactées afin d’être remboursées.

La direction du Festival de Lanaudière se voit sincèrement désolée et profite de l’occasion pour souhaiter un prompt rétablissement à Mme Koh.

 

Source :
Festival de Lanaudière

Un nouveau Prix du Festival pour couronner le blues : B.B. King à l’honneur

Communiqué reçu à Montréal, le samedi 5 juillet 2014 par l’Équipe Spectra

C’est désormais une tradition : tous les cinq ans, le Festival International de Jazz de Montréal souligne le coup en créant une nouvelle distinction, destinée à honorer les artistes qui ont marqué l’histoire du jazz ou de ses musiques parentes. À l’occasion de sa 35e édition, le Festival inclut le blues dans la ronde et couronne le roi du blues lui-même : B.B. King, qui donne son nom au Prix. Ainsi, le Prix B.B.-King sera désormais remis annuellement à un artiste s’étant illustré sur la scène du blues. Le Prix lui sera remis sur scène parAndré Ménarddirecteur artistique et cofondateur du Festivalce soir, lors du concert que l’artiste donnera à la Salle Wilfrid-Pelletier de la Place des Arts, dans le cadre de la série Événements spéciaux TD.

Figure royale du blues, l’infatigable « Blues Boy » King a commencé à rouler sa bosse durant les années 1940, chantant la musique de son Mississippi natal avec une ardeur inégalée. Arborant un style enrichi d’emprunts au jazz et au blues de la côte Ouest, il a fait naître du manche de sa guitare surnommée Lucille une signature sonore fluide et dépouillée à laquelle se sont identifiées plusieurs générations de bluesmen et de rockers, parmi lesquels Eric Clapton, les Rolling Stones et U2. Lauréat de pas moins de 15 Grammy, intronisé au Rock and Roll Hall of Fame et au Blues Hall of Fame, le « Roi du blues » traîne une feuille de route où se côtoient une quarantaine d’albums et des milliers de concerts… dont plusieurs passages mémorables au Festival. Lors de son premier arrêt, en 1989, on l’a notamment vu aux côtés de George Benson dans un grand gala soulignant le 10e anniversaire du Festival. Six ans plus tard, le guitariste a partagé l’affiche avec un autre géant de la six cordes, Buddy Guy, lors d’un affrontement amical aux allures de véritable championnat du monde de la guitare blues, dans un Forum spécialement aménagé pour l’occasion en un gigantesque cabaret avec scène centrale pivotante. Il a également offert plusieurs prestations dans la Salle Wilfrid-Pelletier, dont un concert soulignant son 80e anniversaire en 2006. Cette année le souverain préside à une véritable leçon de blues professée aux côtés du jeune Gary Clarke Jr. dans un programme double le 5 juillet à 19 h 30 à la Salle Wilfrid-Pelletier de la Place des Arts (séries Événements spéciaux TD).

Diana Ross reçoit le Prix Ella-Fitzgerald

Communiqué reçu de l’Équipe Spectra à Montréal, le jeudi 3 juillet 2014 

 

Le Festival International de Jazz de Montréal est heureux de décerner le Prix Ella-Fitzgerald à Diana Ross, pour son extraordinaire contribution au jazz vocal contemporain. Le prix lui sera remis parAlain Simardprésident et fondateur du Festival, et André Ménarddirecteur artistique et cofondateur du Festivalce soir à 22 h, lors d’une rencontre privée au Salon vert de la Place des Arts, après son concert présenté à la Salle Wilfrid-Pelletier dans le cadre de la série Événements spéciaux.

Diana Ross est la 16e lauréate du Prix Ella-Fitzgerald. À l’occasion de son 20e anniversaire, en 1999, le Festival a eu l’idée de créer ce prix pour récompenser une chanteuse ou un chanteur de jazz au talent remarquable qui a eu un impact et une influence majeurs sur la scène internationale.

Diva s’il en est, icône du showbizz et véritable légende vivante, Diana Ross n’aurait pu faire aux festivaliers de cadeau plus réjouissant que cette toute première visite au Festival — qui fête cette année ses 35 ans. Celle qui incarne le glamour jusqu’au bout des ongles, lauréate d’un Grammy Lifetime Achievement, couve en son répertoire une odyssée musicale qui s’étend sur 50 ans, des classiques Motown comme Where Did Our Love Go, Love ChildStop! in the Name of Love et I Hear a Symphony aux succès disco Love HangoverUpside Down, Touch Me in the Morning et One Love in my Lifetime, en passant par le jazz de Lady Sings the Blues et la chanson-thème du film MahoganyDo You Know Where You’re Going To.

Ajoutons à ce tableau impressionnant quelque 100 millions d’albums vendus, 18 chansons ayant atteint le sommet des palmarès, 8 distinctions aux American Music Awards… difficile d’imaginer CV mieux garni !

La célèbre chanteuse s’arrête chez nous dans le cadre de sa tournée In the Name of Love, accompagnée d’un grand orchestre d’une quinzaine de musiciens(Première partie : sa fille, Rhonda Ross). 3 et 4 juillet, 19 h 30, Salle Wilfrid-Pelletier, série Événements spéciaux TD.

Diana Ross succède à Holly Cole (2013), Liza Minnelli (2012), Sade (2011), The Manhattan Transfer (2010), John Pizzarelli (2009), Aretha Franklin (2008), Harry Connick, Jr. (2007), Etta James (2006), Al Jarreau (2005) Tony Bennett (2004), Bobby McFerrin (2003), Dianne Reeves (2002), Diana Krall (2001), Dee Dee Bridgewater (2000) et Diane Schuur (1999), les précédents lauréats du Prix Ella-Fitzgerald.

Source: L’Équipe Spectra