Les animaux du sud: L’Albatros à pieds noirs

L’albatros à pieds noirs est un petit albatros. Son plumage est entièrement sombre avec des marques blanches derrière l’œil et à la base du bec.

Cette espèce se rencontre principalement dans les îles Hawaii, où elle cohabite avec l’albatros de Laysan, mais aussi dans les îlesBonin, près du Japon. Hors de la période de reproduction, elle vagabonde dans tout le Pacifique Nord.

L’albatros à pieds noirs niche en colonies. Le nid est un simple creux dans le sable dans lequel un unique œuf est pondu. L’incubation dure 65 jours. Les deux parents protègent le poussin pendant les 20 premiers jours ensuite ils partent pêcher en mer et le ravitaillent régulièrement. Le poussin est indépendant au bout de 140 jours environ. Les couples d’albatros à pieds noirs sont unis pour la vie, les oiseaux ne commencent à se reproduire que vers l’âge de 6 ans.

Ils peuvent vivre jusqu’à 50 ans.

Cette espèce se nourrit principalement de poissons et de calamars.

Comme tous les autres albatros, l’albatros à pieds noirs est vulnérable aux palangres, environ 4000 oiseaux sont tués chaque année de cette manière. L’ingestion de matière plastique est aussi une cause de mortalité importante.

Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Albatros_à_pieds_noirs

Actualités: Pérou

La plus grande fête Péruvienne à Montréal aura lieu le dimanche, 29 juillet 2012 au parc Jeanne-Mance  de 11h à 21h. Parmi les diverses activités, vous aurez droit  à des musiciens de merengue, salsa, bachata et autres genres venant directement du Pérou tels que : Cumbia 5, Kevin Bruce, Revolver, John Kelvin, Grupo  Mestizo, Trio sol y mar et des artistes de danse comme Todas Las Sangre et Esencia del Peru.

Voir le site officiel

 

 

Les animaux du sud: le phaétan à bec jaune

Le phaéton à bec jaune

Source: http://www.oiseaux-birds.com/fiche-phaeton-bec-jaune.html

L’adulte a le plumage blanc sur presque tout le corps.

Sur le dessus des ailes, on peut voir une bande noire en diagonale sur l’intérieur des ailes, et des primaires externes noires. L’étendue de cette couleur est variable.

La queue est blanche avec deux longs « serpentins » au centre.

Les parties inférieures sont blanches.

La tête est blanche, avec une ligne noire en travers de l’œil, partant des lores et rejoignant la zone auriculaire. Le bec pointu est jaune orangé vif. Les yeux sont brun foncé. Les pattes et les doigts sont gris foncé.

Les deux sexes sont semblables.

Le juvénile présente des barres noires irrégulières sur le dessus, et il n’a pas les longs serpentins de la queue. Son bec est plus jaune que celui des adultes. Il atteint sa maturité sexuelle vers l’âge de quatre ans.

CRIS ET CHANTS : Le phaéton à bec jaune est habituellement silencieux en dehors des colonies de reproduction. Il est surtout bruyant en vol, au cours des vols nuptiaux en particulier. Il émet des cris répétés et stridents. Il crie aussi fortement au nid s’il est menacé ou simplement dérangé. En revanche, les parents émettent des sons doux quand ils nourrissent les poussins.

HABITAT :

Le phaéton à bec jaune est pélagique. Il peut quand même fréquenter les côtes pour se nourrir. Cette espèce se reproduit sur de petites îles océaniques, sur des falaises, ou parfois dans une fourche d’arbre.

DISTRIBUTION GEOGRAPHIQUE:

Le phaéton à bec jaune se trouve dans la partie tropicale de l’Atlantique, dans l’ouest du Pacifique et dans l’Océan Indien. Il se reproduit dans les îles des Caraïbes et vers le nord jusqu’aux Bermudes.

COMPORTEMENTS DANS LA VIE SAUVAGE :

Le phaéton à bec jaune se nourrit de petits poissons, surtout des poissons volants, des calmars et des crabes. Il capture ses proies en plongeant d’une hauteur de 20 mètres environ, comme les fous. Cependant, les poissons volants sont souvent capturés en vol.

Il se nourrit habituellement seul ou en couples. Les proies sont souvent détectées en voltigeant au-dessus de l’eau. Le phaéton à bec jaune avale sa prise avant de s’envoler.

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Petit regard sur l’histoire de l’Astrologie

Astrologie d’hier, d’aujourd’hui et de demain

Source: ARIANA (Association pour la Recherche, et l’Information en Astrologie NAturelle)

Qui dit astrologie dit « Sciences Occultes », dit « Savoir Traditionnel »… voire. L’astrologie est-elle « occulte » ? N’est-elle pas plutôt occultée par trois siècles de scientisme borné, d’intolérance matérialiste, d’aveuglement positiviste ? L’astrologie est-elle une connaissance »traditionnelle » ? Si c’est le cas, qu’est-ce que la « Tradition » ?

Par définition, c’est un ensemble plus ou moins cohérent et homogène de manières de penser, de croire et d’agir qui se transmet de génération en génération. C’est une connaissance accumulée au fil des âges, riche des observations, réflexions, expériences, intuitions, rêves et états d’âme de millions d’êtres humains, chaque culture et chaque époque apportant sa contribution, plus ou moins novatrice et originale, à l’édifice fluctuant du savoir collectif. La« sagesse des grands anciens » existe, certes. Elle est néanmoins perpétuellement réactualisée par les découvertes des « petits modernes » dont certains, un jour, deviendront à leur tour des « grands anciens » après avoir été violemment critiqués et rejetés par les conservateurs de leur siècle. Car – c’est une immémoriale Tradition – le conservatisme et le traditionalisme sont les pires ennemis d’une Tradition bien comprise et bien vivante.

Il n’est donc pas question de rejeter, dénigrer ou transgresser puérilement, au nom d’une mythique « modernité », les enseignements que nous a légués laTradition astrologique, c’est-à-dire l’astrologie d’hier. Mais il n’est pas interdit de porter un regard actuel et critique sur la façon dont les astrologues du passé concevaient la relation Homme-Ciel à l’aune des connaissances physiques, mais aussi des mythes, modèles et représentations du monde dominants à leur époque. C’est en élaguant les branches mortes, en prenant acte des erreurs et errements, en reformulant et précisant certains points de doctrine que l’on fera fructifier cet enseignement traditionnel en y intégrant les connaissances et découvertes les plus récentes, tant en astronomie qu’en ce qui concerne le fonctionnement de l’être humain.

S’il y a bien continuité du savoir traditionnel, depuis les astrologues-astronomes mésopotamiens jusqu’à nos modernes scientifiques, il se produit parfois de soudaines discontinuités dans le champ du savoir. C’est ce que l’on appelle les « coupures épistémologiques ». Par exemple, jusqu’à Copernic (1473-1543), tous les savants, astronomes et astrologues compris, étaient persuadés que l’univers était géocentrique, c’est-à-dire que la Terre était située au centre du monde. A partir du moment où Copernic a définitivement démontré que les planètes, y compris la Terre, tournaient autour du Soleil, c’est tout un pan multimillénaire du champ du savoir qui s’est écroulé : notre vision du monde en était radicalement bouleversée, et nous découvrions de nouvelles réalités physiques, jusqu’alors insoupçonnées. Et néanmoins, Copernic n’a pu aller jusqu’au bout de sa découverte – et non de son invention – qu’en exploitant les forces et faiblesses d’un savoir traditionnel, certes largement erroné et insuffisant, mais assez riche pour permettre de conquérir quelques vérités de plus sur le grand territoire de l’inconnu.

Il en est de même en ce qui concerne l’astrologie. Elle s’est construite progressivement, par accumulation d’observations, de réflexions et de découvertes, et non par la soudaine révélation initiale d’une Tradition immémoriale, figée et définitive.

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Les animaux du sud: Le corail-cerveau

Le corail-cerveau géant se rencontre en Atlantique tropical ouest, de la Floride au Venezuela, aux Bahamas et en mer des Caraïbes. 

Description courte:

Les colonies sont grandes (jusqu’à 2,1 m), peu calcifiées, de forme encroûtante ou hémisphérique, mais généralement moins. Les vallées sont longues et sinueuses, formant de longs méandres qui contiennent plusieurs polypes mais peuvent aussi être courtes et ne contenir alors que de 1 à 3 polypes : les vallées sont alors dites « fermées ». Les vallées se terminent généralement en légers « lobes » arrondis sur la périphérie de la colonie.

Les septes (type de cloison interne, radiale et verticale du corallite), sont égaux et finement dentelés. Une ligne fine parcourt le sommet des crêtes. Une autre ligne fine sur les murs marque le changement d’inclinaison du mur vers la vallée.
Les tentacules ne sont visibles que la nuit, et forment de longues rangées le long des crêtes.

Les murs sont de couleur marron ou grise, les bouches sont bien visibles et les vallées sont souvent d’une couleur différente (mauve clair, verte, etc).

Source: DORIS, http://doris.ffessm.fr/fiche2.asp?fiche_numero=914

 

Un petit goût du sud chez nous…

Aujourd’hui je vous propose Le Mexique avec le restaurant « 3 amigos » à Montréal. Une ambiance chaleureuse, un décor très Mexicain et des repas à ne plus finir. Avec un vaste choix sur le menu comme les fameux quesadillas, les tacos, les fajitas, les nachos… il serait trop long d’écrire le tout, il vaut mieux se déplacer pour le découvrir. Tout de même, je rajoute à cette liste, les « MARGARITAS »… (D.Courage)

3 Amigos Restaurant
  • 1657 Rue Sainte-Catherine Ouest
Montreal, (QC) H3H 1L9
Tel.:(514) 939-3329
  • 1621, rue Saint-Denis
Montreal (Qc) H2X 3K3
Tel.: (514) 987-6868
  • 5605 Boul. Taschereau
Brossard (Qc) J4Z 1A3
Tel.: (450) 926-0202